30. - Li, jonction et séparation
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12042020
30. - Li, jonction et séparation
30. Li : CE QUI S'ATTACHE LE FEU
Li en haut
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Li en bas
544. Li, avantage de la perfection ; liberté, réunir des vaches, présage heureux.
Li. « L’Ordre des koua » dit :
544. Li, avantage de la perfection ; liberté, réunir des vaches, présage heureux.
TSHENG TSE. — Li, adjonction, annexion à ; tous les êtres, sans exception, ont quelque chose à quoi ils se joignent ; du moment où il y a forme, c’est qu’il y a jonction. Pour l’homme ce sera les personnes qu’il affectionne et auxquelles il se joint, la voie par laquelle il procède, les choses qui dépendent de lui ; tout cela constitue également les objets de son attachement. L’objet de l’attachement des hommes est avantageux par la perfection de la droiture ; en s’accordant à la droiture, il devient possible de jouir de liberté, et c’est pourquoi la formule dit : « attachement (la), avantage de la perfection, liberté. » Présage heureux de la réunion des vaches en troupeau ; le naturel du bœuf est placide et soumis et, de plus, il s’agit d’animaux femelles ; cela exprime donc l’extrême soumission. Du moment où on s’attache à la droiture, il faut pouvoir se soumettre à la voie rationnelle du droit, si on le fait avec une soumission analogue à celle de la vache, ce sera un présage heureux. Réunir des vaches en troupeau, ou nourrir et élever des vaches, signifie nourrir et développer la vertu de soumission ; chez l’homme, la vertu de la soumission se développe et s’achève par le soin et la culture ; du moment où il s’attache à la droiture, il doit développer et exercer cette vertu de soumission, afin de la compléter.
TSHOU HI. — Li, adjoindre, s’attacher à. La négativité s’attache à la positivité ; l’image symbolique est le feu, dont la substance est négative et l’effet positif. L’objet de l’attachement des êtres n’est noble que par l’accord avec la droiture. La vache est un animal doux et soumis, aussi, si celui qui consulte le sort peut se maintenir dans la droiture, il jouira de liberté, et le fait de « nourrir la vache » sera un présage heureux.
545. Le commentaire traditionnel de la formule déterminative dit : Li, contact ; le soleil et la lune sont en contact avec le ciel ; les cent sortes de grains, les plantes et les arbres sont en contact avec la terre ; redoubler l’intelligence afin de s’attacher à la droiture ; c’est là transformer et civiliser l’univers.
546. La douceur est jointe à la justice et à la droiture ; donc, liberté ; c’est ce qui produit le présage heureux de l’action de nourrir la vache.
547. Le commentaire traditionnel de la formule symbolique dit : La clarté jaillit deux fois, li, le grand homme agit pour éclairer successivement les quatre régions.
hexagramme / Générateur / Nucléaire / Binôme / Permuté / Miroir opposé / (muté naturel yao 6)
lien avec lignes mutés :
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Li en haut
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Li en bas
544. Li, avantage de la perfection ; liberté, réunir des vaches, présage heureux.
Li. « L’Ordre des koua » dit :
- :
- TSHENG TSE. — Li. « L’Ordre des koua » dit : « Khan, chute ; dans la chute il y a nécessairement un point d’arrivée, c’est pourquoi le koua khan est immédiatement suivi du koua li ; li, venir se joindre à. » Tombant au milieu des obstacles et des difficultés, il faut nécessairement qu’il y ait un point auquel on arrive à se joindre et s’annexer ; c’est là une loi naturelle, et c’est pour cette raison que le koua li suit immédiatement le koua khan. Li signifie se joindre, s’annexer à, et aussi, clarté, lumière. Si on relève la condition de la négativité se joignant aux positivités placées au dessus et au dessous d’elle, cela constituera le sens de s’attacher, se lier en s’annexant ; si on relève la condition de vide intérieur, cela constituera le sens de clarté.
Le koua simple li est considéré comme représentant le feu ; par sa nature, la substance du feu est incorporelle, c’est ce qui s’ajoute aux corps et les rend éclairants. Il est encore considéré comme exprimant le jour, également à cause de l’image symbolique de vide impalpable et de clarté.
544. Li, avantage de la perfection ; liberté, réunir des vaches, présage heureux.
TSHENG TSE. — Li, adjonction, annexion à ; tous les êtres, sans exception, ont quelque chose à quoi ils se joignent ; du moment où il y a forme, c’est qu’il y a jonction. Pour l’homme ce sera les personnes qu’il affectionne et auxquelles il se joint, la voie par laquelle il procède, les choses qui dépendent de lui ; tout cela constitue également les objets de son attachement. L’objet de l’attachement des hommes est avantageux par la perfection de la droiture ; en s’accordant à la droiture, il devient possible de jouir de liberté, et c’est pourquoi la formule dit : « attachement (la), avantage de la perfection, liberté. » Présage heureux de la réunion des vaches en troupeau ; le naturel du bœuf est placide et soumis et, de plus, il s’agit d’animaux femelles ; cela exprime donc l’extrême soumission. Du moment où on s’attache à la droiture, il faut pouvoir se soumettre à la voie rationnelle du droit, si on le fait avec une soumission analogue à celle de la vache, ce sera un présage heureux. Réunir des vaches en troupeau, ou nourrir et élever des vaches, signifie nourrir et développer la vertu de soumission ; chez l’homme, la vertu de la soumission se développe et s’achève par le soin et la culture ; du moment où il s’attache à la droiture, il doit développer et exercer cette vertu de soumission, afin de la compléter.
TSHOU HI. — Li, adjoindre, s’attacher à. La négativité s’attache à la positivité ; l’image symbolique est le feu, dont la substance est négative et l’effet positif. L’objet de l’attachement des êtres n’est noble que par l’accord avec la droiture. La vache est un animal doux et soumis, aussi, si celui qui consulte le sort peut se maintenir dans la droiture, il jouira de liberté, et le fait de « nourrir la vache » sera un présage heureux.
545. Le commentaire traditionnel de la formule déterminative dit : Li, contact ; le soleil et la lune sont en contact avec le ciel ; les cent sortes de grains, les plantes et les arbres sont en contact avec la terre ; redoubler l’intelligence afin de s’attacher à la droiture ; c’est là transformer et civiliser l’univers.
- :
- TSHENG TSE. — Li, être en contact, s’attacher, se joindre à quelque chose ; par exemple, comme le soleil et la lune sont attachés au ciel, comme les cent sortes de grains, les plantes et les arbres sont attachés à la terre. Tous les êtres sans exception ont quelque chose à quoi ils s’attachent ; entre le ciel et la terre il n’y a rien qui ne soit attaché à quelque chose. Lorsqu’il s’agit de l’homme, il convient d’examiner l’objet de son attachement ; si cet objet est conforme à la droiture, il pourra jouir de liberté. « Redoubler l’intelligence afin de s’attacher à la droiture » est dit au sujet des aptitudes exprimées par le koua ; il est formé, en haut et en bas, par le koua simple li, c’est là la répétition de clarté.
Le cinquième trait et le second sont tous deux placés selon la justice et la droiture, ils expriment l’attachement à la droiture ; le prince et le sujet, le supérieur et l’inférieur, possèdent tous les facultés de l’intelligence et se placent suivant la justice et la droiture : il leur est possible de transformer l’univers et de perfectionner l’élégance des mœurs.
TSHOU HI. — Explication du sens du nom du koua.
546. La douceur est jointe à la justice et à la droiture ; donc, liberté ; c’est ce qui produit le présage heureux de l’action de nourrir la vache.
- :
- TSHENG TSE. — Le second et le cinquième traits emploient la douceur et la soumission et s’attachent à la justice et à la droiture, d’où résulte la liberté d’action. Si l’homme peut développer la plus grande soumission pour s’attacher à la justice et à la droiture, le présage sera heureux, et c’est pour cela que la formule dit : « Présage heureux de l’action de nourrir la vache. » On a dit : Le second trait se conforme strictement à la justice et à la droiture, mais le cinquième, employant la négativité pour se maintenir à un rang positif, peut il être considéré comme se conformant à la droiture ? Dans le koua li, tout dépend de l’objet de l’attachement ; le cinquième rang est une situation qui comporte la justice et la droiture ; c’est un trait hexaire qui s’attache à une situation qui lui convient correctement ; c’est cela qui est considéré comme constituant la droiture. Lorsque l’étudiant comprend le sens indiqué par le moment et ne se méprend pas sur l’importance relative des diverses circonstances, alors il peut se permettre de raisonner sur le Yi king.
TSHOU HI. — Explication de la formule du koua au moyen de la substance même de ce koua.
547. Le commentaire traditionnel de la formule symbolique dit : La clarté jaillit deux fois, li, le grand homme agit pour éclairer successivement les quatre régions.
- :
- TSHENG TSE. — Si la formule portait « deux clartés », il s’agirait de deux clartés différentes et on ne comprendrait pas le sens des mots « éclairer successivement » ; c’est pour cela que le texte porte « clartés deux », il s’agit d’une clarté qui se répète et se redouble, c’est à dire que les deux clartés se succèdent réciproquement. Les deux caractères suivants, « faire la séparation » ; la clarté est double et produit le koua li, séparation, cela donne le sens de « succession de clarté ». Les koua tshen, souen, et autres du même genre prennent aussi le sens de suite, succession continue, comme dans le cas d’un courant ; toutefois, le sens du koua li est de beaucoup le plus important. Lorsqu’il s’agit de la grandeur de la vertu on emploie l’expression « homme saint » ; s’il s’agit de la grandeur de la situation on dit : le « prince », dans les deux cas il s’agit d’un « grand homme ».
Le grand homme regarde l’image symbolique de clartés se succédant réciproquement, et il applique cette conception à la transmission de la faculté d’intelligence de génération en génération, pour éclairer, en les régissant, les quatre régions. Dans la majorité des cas, lorsque les clartés se succèdent, c’est toujours une succession de clarté ; la formule relève le cas le plus important, et elle en parle au point de vue de la transmission successive de la clarté, de génération en génération.
TSHOU HI. — Le terme tso, du texte, faire, produire, signifie commencer.
hexagramme / Générateur / Nucléaire / Binôme / Permuté / Miroir opposé / (muté naturel yao 6)
lien avec lignes mutés :
1.2 / 1.3 / 1.4 / 1.5 / 1.6 / 2.3 / 2.4 / 2.5 / 2.6 / 3.4 / 3.5 / 3.6 / 4.5 / 4.6 / 5.6 /
1.2.3 / 1.2.4 / 1.2.5 / 1.2.6 / 1.3.4 / 1.3.5 / 1.3.6 / 1.4.5 / 1.4.6 / 1.5.6 /
2.3.4 / 2.3.5 / 2.3.6 / 2.4.5 / 2.4.6 / 2.5.6 / 3.4.5 / 3.4.6 / 3.5.6 / 4.5.6 /
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30. Li : CE QUI S'ATTACHE LE FEU
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548.Premier trait nonaire : démarche hésitante ; absence de culpabilité résultant du respect.
TSHENG TSE. — La positivité est certainement portée au mouvement ; de plus elle occupe le rang inférieur et fait partie de la substance du koua simple li. Un trait positif occupant un rang inférieur veut certainement avancer, et la nature propre du koua li est la tendance ascendante de la flamme ; sa volonté est donc de monter se joindre, il est sur le point de se mouvoir avec précipitation, sa démarche n’est pas encore nettement dessinée et elle semble hésitante. Bien qu’il n’avance pas encore, cependant les symptômes de son mouvement sont déjà visibles. En se mouvant, il perd sa condition d’occuper un rang inférieur et il assume une culpabilité. Cependant ses aptitudes sont la dureté énergique et l’intelligence, s’il connaît le devoir et s’il s’y conforme avec respect, il n’en arrivera pas à cette culpabilité.
Le premier trait est celui qui est dans un rang inférieur et sans situation ; porter l’intelligence dans le mouvement de sa propre personne pour avancer ou reculer, telle est la voie rationnelle à laquelle il s’attache. Mais du moment où ses tendances lui donnent l’impulsion, il ne peut plus être attentif et contenu, alors il se meut mal à propos et c’est là manquer de discernement dans le choix de l’objet de son attachement, et être coupable.
TSHOU HI. — Employer la dureté énergique, occuper un rang inférieur, et être placé dans la substance de la clarté ; les tendances portent à avancer en montant, de sorte qu’il y a l’image symbolique d’une démarche ambiguë et hésitante. Avec le respect il n’y a pas de culpabilité. C’est un avertissement à celui qui consulte le sort, afin qu’il se mette dans ces conditions.
550.Deuxième trait hexaire : clarté jaune ; grandeur du présage heureux.
TSHENG TSE. — Le second trait se maintient dans la justice et s’accorde à la droiture ; il s’attache à la justice et à la droiture. Le jaune est la couleur de la justice ; c’est la plus belle des apparences visibles. Élégance de la forme et de l’apparence, justice et droiture : achèvement de la beauté. Aussi la formule dit : « clarté jaune ». Il emploie les qualités de l’élégance de la forme et de l’apparence et celles de la justice et de la droiture ; il monte s’identifier à l’intelligence brillante et à la justice condescendante du prince ; étant intelligent à ce point, et l’objet de son attachement étant tel, c’est donc le présage heureux d’un grand bien.
TSHOU HI. — Le jaune est la couleur de la justice, la douceur malléable s’attache à la justice et possède la droiture, et c’est pourquoi tels sont l’image symbolique et le sens divinatoire.
552.Troisième trait nonaire : clarté du soleil qui décline ; ne pas frapper sur la terre cuite et chanter ; formuler des lamentations sur la grande vieillesse ; présage malheureux.
TSHENG TSE. — Les huit koua dont la substance est immélangée ont tous le sens indiqué par cette double substance. Ainsi, dans le koua khien, le koua simple intérieur et le koua simple extérieur expriment également l’activité ; dans le koua khouen, les koua simples supérieur et inférieur expriment tous deux la soumission passive ; dans le koua tshen, la majesté et la puissance qui ébranle se succèdent ; dans le koua souen, en haut et en bas il y a docilité dans l’action de suivre ; dans le koua khan les périls sont répétés et accumulés ; dans le koua li, les clartés se succèdent et illuminent ; dans le koua ken, l’intérieur et l’extérieur expriment également l’arrêt ; dans le koua touei, l’un et l’autre indiquent la même satisfaction. Mais dans le cas du koua li, le sens, étant relatif aux choses de l’homme, est plus important que dans tout autre.
Le troisième trait nonaire occupe le dernier rang dans la substance du koua simple inférieur ; c’est le moment où la clarté précédente étant sur le point d’être épuisée, la clarté suivante est prête à lui succéder ; le commencement et la fin de l’homme, le renouvellement des saisons. C’est pour cela que ce trait est considéré comme exprimant la clarté du soleil déclinant, la lumière du soleil descendant et déclinant ; puisqu’il décline, il est sur le point de disparaître. En en parlant au point de vue de la raison d’être des choses, ce qui a fleuri doit dépérir ; ce qui a commencé doit avoir une fin ; c’est là une voie immuable. Celui qui la comprend se conforme à la raison des choses et c’est en cela qu’il fait consister son plaisir.
Poterie, objet d’usage commun et ordinaire ; frapper sur une terre cuite et chanter, c’est se contenter avec quelque chose de très ordinaire ; celui qui ne peut agir ainsi, considérera la vieillesse comme un sujet de lamentations et de chagrin, et c’est là ce qui constituera le présage malheureux. Telle est la voie rationnelle pour se placer soit pendant la vie, soit au moment de la mort. Le quatorzième caractère, tie, qui désigne la vieillesse à partir de l’âge de quatre vingt ans, équivaut au caractère tie, qui désigne le déclin du soleil.
TSHOU HI. — Intervalle entre le renouvellement des clartés ; la clarté précédente est sur le point d’être épuisée, donc image symbolique du déclin du soleil. Si on ne sait se contenter des choses ordinaires dans les moyens de plaisir, on ne saura se tenir en place, et le présage sera malheureux. La formule avertit celui qui consulte le sort qu’il doit être dans ces conditions.
30. Li
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554.Quatrième trait nonaire : comme un courant rapide, de même il vient ; comme brûlant ; comme mort ; comme abandonné.
TSHENG TSE. — Le quatrième trait nonaire quitte la substance inférieure et monte faire partie de la substance supérieure ; c’est l’origine de la clarté qui succède à la précédente, et c’est pourquoi il est question du sens de succession immédiate. Être dans un rang supérieur et près du prince, c’est être sur un terrain où l’on prend rang immédiatement après lui. Ce trait emploie l’énergie active de la positivité, il fait partie de la substance du koua simple li, et il se place au quatrième rang, ce qui indique la violence, la précipitation et l’absence de justice et de droiture. D’ailleurs, il y a répétition de dureté énergique sans emploi de la droiture, et les conséquences logiques du développement complet de la dureté énergique surviennent comme un courant rapide ; ce n’est pas celui qui succède honnêtement. Or, celui qui succède légitimement et suivant ce qui est le bien, doit nécessairement posséder la sincérité de la modestie et de l’humilité, et suivre la voie de la soumission aux lois naturelles de la succession, exactement comme Shouen et comme Khae.
Dans le cas présent, le quatrième trait survient comme un courant rapide et brusquement, et il manque à la voie normale de la succession légitime. De plus, il est subordonné au prince mou et négatif représenté par le cinquième trait hexaire ; la force naturelle inhérente au complet développement de la dureté énergique envahissante et dévorante fait que son éther brûle comme la flamme, et c’est pourquoi la formule dit : « comme brûlant ». L’action du quatrième trait étant à ce point mauvaise, il doit nécessairement en éprouver lui-même les effets funestes, et c’est pour cela que la formule dit : « comme mort ». Manquer au devoir au sujet de la succession et de l’héritage des supérieurs, c’est toujours une propension à la révolte, et c’est ce qui fait que la foule le délaisse, ainsi la formule dit : « comme abandonné ». Lorsqu’il s’agit de « mort » et « d’abandon », c’est l’extrême limite du malheur, de sorte qu’il n’est pas nécessaire de mentionner le présage malheureux.
TSHOU HI. — C’est le moment où la clarté suivante est sur le point de succéder et le quatrième trait nonaire emploie la dureté énergique pour précipiter cet instant marqué pour la succession, ce qui fait que telle est l’image symbolique.
556.Cinquième trait hexaire : comme versant des larmes qui coulent ; comme triste et se lamentant ; présage heureux.
TSHENG TSE. — Le cinquième trait hexaire occupe la situation prééminente et observe la justice ; il a les qualités de l’intelligence manifestée dans l’apparence ; on peut dire qu’il représente le bien. Cependant, employant la douceur malléable et occupant un rang supérieur, n’ayant aucune assistance au dessous de lui, il se trouve seul et isolé entre la dureté énergique et la violence avec lesquelles il est en contact ; c’est une condition périlleuse et redoutable. Ce n’est que par son intelligence qu’il peut scruter la profondeur du danger et le craindre au point que ses larmes coulent, et qu’il peut être profondément triste et préoccupé au point qu’il est morne et se lamente, ce qui fait qu’il peut assurer le présage heureux de l’avenir.
Verser des larmes, être triste et se lamenter, sont des expressions qui indiquent l’intensité de la tristesse et de la crainte ; c’est une conséquence naturelle du moment. Occupant la situation prééminente et possédant l’intelligence qui se révèle dans les actes extérieurs, sachant craindre, et susceptible de se préoccuper à un tel point, le présage est donc heureux pour lui. S’il se fiait à ses facultés intelligentes, comme à cette condition qu’il s’attache à la justice et à la droiture, jouissant de la prospérité sans rien prévoir, comment pourrait il garantir ce présage heureux !
TSHOU HI. — Il emploie la douceur malléable et occupe le rang prééminent ; doux et pliant, il s’attache à la justice. Cependant, il ne se conforme pas à la droiture et il est pressé en dessus et en dessous par des traits positifs, ce qui le rend triste et préoccupé à ce point. Cependant, par la suite, le présage devient heureux. C’est un avertissement donné à celui qui consulte le sort, qui doit être dans ces mêmes conditions.
558.Trait supérieur nonaire : le roi se dispose à partir en guerre ; il a des succès, il choisit des chefs ; ce qu’il capture n’est pas le vulgaire ; pas de culpabilité.
TSHENG TSE. — Ce trait nonaire emploie la positivité et occupe le rang supérieur, il est au dernier rang du koua li ; c’est celui qui représente l’extrême degré de l’énergie et de l’intelligence. Intelligent, il est capable d’élucider ; énergique, il est capable de décision. Être capable d’élucider suffit pour reconnaître le mal ; être capable de décision suffit pour agir avec autorité et punir. Aussi, les rois doivent ils employer une telle énergie et une telle intelligence, pour remédier au mal dans l’univers et procéder à sa destruction. Ce sera accomplir une œuvre grande et louable. La coercition par la destruction est le cas le plus grave de l’emploi des châtiments ; or, si l’intelligence est extrême, il n’est pas de détail, quelque minime qu’il soit, qui ne soit scruté et éclairé ; si la décision est extrême, il n’y aura ni indulgence, ni pardon ; si ces qualités ne sont contenues par la justice, il y aura excès de sévérité dans le jugement.
Extirpant le vice de l’univers, si on recherche jusqu’au bout tout ce qui, à un degré quelconque, peut être imprégné de fausseté ou d’erreur, comment réussir à punir tout ce qui est coupable ? Le mal résultant de cet excès de sévérité sera lui-même considérable. Aussi il convient seulement de choisir et de prendre les principaux chefs ; ce qui est pris n’étant pas le vulgaire, il n’y aura pas culpabilité par excès de sévérité cruelle. Le Shou king dit : « Exécuter les chefs des brigands ; ne pas punir leurs complices. »
TSHOU HI. — L’énergie et l’intelligence atteignent au loin, l’autorité magistrale ébranle et punit sans erreur ; c’est une voie qui ne comporte aucune culpabilité, aussi tels sont l’image symbolique et le sens divinatoire.
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548.Premier trait nonaire : démarche hésitante ; absence de culpabilité résultant du respect.
TSHENG TSE. — La positivité est certainement portée au mouvement ; de plus elle occupe le rang inférieur et fait partie de la substance du koua simple li. Un trait positif occupant un rang inférieur veut certainement avancer, et la nature propre du koua li est la tendance ascendante de la flamme ; sa volonté est donc de monter se joindre, il est sur le point de se mouvoir avec précipitation, sa démarche n’est pas encore nettement dessinée et elle semble hésitante. Bien qu’il n’avance pas encore, cependant les symptômes de son mouvement sont déjà visibles. En se mouvant, il perd sa condition d’occuper un rang inférieur et il assume une culpabilité. Cependant ses aptitudes sont la dureté énergique et l’intelligence, s’il connaît le devoir et s’il s’y conforme avec respect, il n’en arrivera pas à cette culpabilité.
Le premier trait est celui qui est dans un rang inférieur et sans situation ; porter l’intelligence dans le mouvement de sa propre personne pour avancer ou reculer, telle est la voie rationnelle à laquelle il s’attache. Mais du moment où ses tendances lui donnent l’impulsion, il ne peut plus être attentif et contenu, alors il se meut mal à propos et c’est là manquer de discernement dans le choix de l’objet de son attachement, et être coupable.
TSHOU HI. — Employer la dureté énergique, occuper un rang inférieur, et être placé dans la substance de la clarté ; les tendances portent à avancer en montant, de sorte qu’il y a l’image symbolique d’une démarche ambiguë et hésitante. Avec le respect il n’y a pas de culpabilité. C’est un avertissement à celui qui consulte le sort, afin qu’il se mette dans ces conditions.
- 549:
- 549.Prudence de la démarche hésitante ; elle sert à éviter la culpabilité.
TSHENG TSE. — La démarche est encore mal dessinée et il y a volonté de se mouvoir, mais connaissant le respect et la circonspection, il n’ose pas encore avancer ; c’est par là qu’il cherche à éviter les fautes et la culpabilité. Il s’en tient à l’intelligence et il est énergique, de sorte qu’il comprend et sait se garer ; s’il n’était ni intelligent, ni énergique, il se mettrait en mouvement mal à propos.
550.Deuxième trait hexaire : clarté jaune ; grandeur du présage heureux.
TSHENG TSE. — Le second trait se maintient dans la justice et s’accorde à la droiture ; il s’attache à la justice et à la droiture. Le jaune est la couleur de la justice ; c’est la plus belle des apparences visibles. Élégance de la forme et de l’apparence, justice et droiture : achèvement de la beauté. Aussi la formule dit : « clarté jaune ». Il emploie les qualités de l’élégance de la forme et de l’apparence et celles de la justice et de la droiture ; il monte s’identifier à l’intelligence brillante et à la justice condescendante du prince ; étant intelligent à ce point, et l’objet de son attachement étant tel, c’est donc le présage heureux d’un grand bien.
TSHOU HI. — Le jaune est la couleur de la justice, la douceur malléable s’attache à la justice et possède la droiture, et c’est pourquoi tels sont l’image symbolique et le sens divinatoire.
- 551:
- 551.Grandeur du présage heureux de la clarté jaune ; se conformer à la voie de la justice.
TSHENG TSE. — Ce qui fait la grandeur du présage heureux, c’est qu’il possède la voie de la justice. Il n’est pas question de la droiture ; dans le rapprochement, c’est la justice qui est considérée comme importante ; c’est par la justice que s’achève la perfection de la forme et de l’intelligence ; la droiture s’y trouve sous entendue.
552.Troisième trait nonaire : clarté du soleil qui décline ; ne pas frapper sur la terre cuite et chanter ; formuler des lamentations sur la grande vieillesse ; présage malheureux.
TSHENG TSE. — Les huit koua dont la substance est immélangée ont tous le sens indiqué par cette double substance. Ainsi, dans le koua khien, le koua simple intérieur et le koua simple extérieur expriment également l’activité ; dans le koua khouen, les koua simples supérieur et inférieur expriment tous deux la soumission passive ; dans le koua tshen, la majesté et la puissance qui ébranle se succèdent ; dans le koua souen, en haut et en bas il y a docilité dans l’action de suivre ; dans le koua khan les périls sont répétés et accumulés ; dans le koua li, les clartés se succèdent et illuminent ; dans le koua ken, l’intérieur et l’extérieur expriment également l’arrêt ; dans le koua touei, l’un et l’autre indiquent la même satisfaction. Mais dans le cas du koua li, le sens, étant relatif aux choses de l’homme, est plus important que dans tout autre.
Le troisième trait nonaire occupe le dernier rang dans la substance du koua simple inférieur ; c’est le moment où la clarté précédente étant sur le point d’être épuisée, la clarté suivante est prête à lui succéder ; le commencement et la fin de l’homme, le renouvellement des saisons. C’est pour cela que ce trait est considéré comme exprimant la clarté du soleil déclinant, la lumière du soleil descendant et déclinant ; puisqu’il décline, il est sur le point de disparaître. En en parlant au point de vue de la raison d’être des choses, ce qui a fleuri doit dépérir ; ce qui a commencé doit avoir une fin ; c’est là une voie immuable. Celui qui la comprend se conforme à la raison des choses et c’est en cela qu’il fait consister son plaisir.
Poterie, objet d’usage commun et ordinaire ; frapper sur une terre cuite et chanter, c’est se contenter avec quelque chose de très ordinaire ; celui qui ne peut agir ainsi, considérera la vieillesse comme un sujet de lamentations et de chagrin, et c’est là ce qui constituera le présage malheureux. Telle est la voie rationnelle pour se placer soit pendant la vie, soit au moment de la mort. Le quatorzième caractère, tie, qui désigne la vieillesse à partir de l’âge de quatre vingt ans, équivaut au caractère tie, qui désigne le déclin du soleil.
TSHOU HI. — Intervalle entre le renouvellement des clartés ; la clarté précédente est sur le point d’être épuisée, donc image symbolique du déclin du soleil. Si on ne sait se contenter des choses ordinaires dans les moyens de plaisir, on ne saura se tenir en place, et le présage sera malheureux. La formule avertit celui qui consulte le sort qu’il doit être dans ces conditions.
- 553:
- 553.Clarté du soleil à son déclin ; comment pourrait elle durer ?
TSHENG TSE. — Du moment où le soleil décline, sa clarté peut elle durer longtemps ? Celui qui est intelligent le comprend ; aussi il appelle quelqu’un pour lui transmettre les affaires ; il se retire et se place dans la retraite pour reposer son corps, se contente de la médiocrité et se soumet aux conditions de sa position ; comment cela pourrait il constituer un présage malheureux ?
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554.Quatrième trait nonaire : comme un courant rapide, de même il vient ; comme brûlant ; comme mort ; comme abandonné.
TSHENG TSE. — Le quatrième trait nonaire quitte la substance inférieure et monte faire partie de la substance supérieure ; c’est l’origine de la clarté qui succède à la précédente, et c’est pourquoi il est question du sens de succession immédiate. Être dans un rang supérieur et près du prince, c’est être sur un terrain où l’on prend rang immédiatement après lui. Ce trait emploie l’énergie active de la positivité, il fait partie de la substance du koua simple li, et il se place au quatrième rang, ce qui indique la violence, la précipitation et l’absence de justice et de droiture. D’ailleurs, il y a répétition de dureté énergique sans emploi de la droiture, et les conséquences logiques du développement complet de la dureté énergique surviennent comme un courant rapide ; ce n’est pas celui qui succède honnêtement. Or, celui qui succède légitimement et suivant ce qui est le bien, doit nécessairement posséder la sincérité de la modestie et de l’humilité, et suivre la voie de la soumission aux lois naturelles de la succession, exactement comme Shouen et comme Khae.
Dans le cas présent, le quatrième trait survient comme un courant rapide et brusquement, et il manque à la voie normale de la succession légitime. De plus, il est subordonné au prince mou et négatif représenté par le cinquième trait hexaire ; la force naturelle inhérente au complet développement de la dureté énergique envahissante et dévorante fait que son éther brûle comme la flamme, et c’est pourquoi la formule dit : « comme brûlant ». L’action du quatrième trait étant à ce point mauvaise, il doit nécessairement en éprouver lui-même les effets funestes, et c’est pour cela que la formule dit : « comme mort ». Manquer au devoir au sujet de la succession et de l’héritage des supérieurs, c’est toujours une propension à la révolte, et c’est ce qui fait que la foule le délaisse, ainsi la formule dit : « comme abandonné ». Lorsqu’il s’agit de « mort » et « d’abandon », c’est l’extrême limite du malheur, de sorte qu’il n’est pas nécessaire de mentionner le présage malheureux.
TSHOU HI. — C’est le moment où la clarté suivante est sur le point de succéder et le quatrième trait nonaire emploie la dureté énergique pour précipiter cet instant marqué pour la succession, ce qui fait que telle est l’image symbolique.
- 555:
- 555.Comme un courant rapide, de même il vient ; rien n’est supportable.
TSHENG TSE. — Il monte, bravant le prince, sans soumission à l’autorité qu’il doit subir ; les hommes le baissent, la foule l’abandonne ; c’est lui que l’univers ne peut tolérer.
TSHOU HI. — Rien n’est supportable ; allusion aux termes « brûlant, mort, abandonné », du texte.
556.Cinquième trait hexaire : comme versant des larmes qui coulent ; comme triste et se lamentant ; présage heureux.
TSHENG TSE. — Le cinquième trait hexaire occupe la situation prééminente et observe la justice ; il a les qualités de l’intelligence manifestée dans l’apparence ; on peut dire qu’il représente le bien. Cependant, employant la douceur malléable et occupant un rang supérieur, n’ayant aucune assistance au dessous de lui, il se trouve seul et isolé entre la dureté énergique et la violence avec lesquelles il est en contact ; c’est une condition périlleuse et redoutable. Ce n’est que par son intelligence qu’il peut scruter la profondeur du danger et le craindre au point que ses larmes coulent, et qu’il peut être profondément triste et préoccupé au point qu’il est morne et se lamente, ce qui fait qu’il peut assurer le présage heureux de l’avenir.
Verser des larmes, être triste et se lamenter, sont des expressions qui indiquent l’intensité de la tristesse et de la crainte ; c’est une conséquence naturelle du moment. Occupant la situation prééminente et possédant l’intelligence qui se révèle dans les actes extérieurs, sachant craindre, et susceptible de se préoccuper à un tel point, le présage est donc heureux pour lui. S’il se fiait à ses facultés intelligentes, comme à cette condition qu’il s’attache à la justice et à la droiture, jouissant de la prospérité sans rien prévoir, comment pourrait il garantir ce présage heureux !
TSHOU HI. — Il emploie la douceur malléable et occupe le rang prééminent ; doux et pliant, il s’attache à la justice. Cependant, il ne se conforme pas à la droiture et il est pressé en dessus et en dessous par des traits positifs, ce qui le rend triste et préoccupé à ce point. Cependant, par la suite, le présage devient heureux. C’est un avertissement donné à celui qui consulte le sort, qui doit être dans ces mêmes conditions.
- 557:
- 557.Présage heureux du cinquième trait hexaire ; s’attacher au roi et au prince.
TSHENG TSE. — Le présage heureux du cinquième trait hexaire, c’est que ce à quoi il s’attache est la situation légitime du roi ou du prince. Il subit la condition naturelle de la supériorité et il examine avec lucidité la raison d’être des choses ; il sait craindre et prévoir, afin de faire face aux événements, ce qui fait qu’il peut avoir un présage heureux. S’il n’était pas ainsi, comment pourrait il être tranquille ?
558.Trait supérieur nonaire : le roi se dispose à partir en guerre ; il a des succès, il choisit des chefs ; ce qu’il capture n’est pas le vulgaire ; pas de culpabilité.
TSHENG TSE. — Ce trait nonaire emploie la positivité et occupe le rang supérieur, il est au dernier rang du koua li ; c’est celui qui représente l’extrême degré de l’énergie et de l’intelligence. Intelligent, il est capable d’élucider ; énergique, il est capable de décision. Être capable d’élucider suffit pour reconnaître le mal ; être capable de décision suffit pour agir avec autorité et punir. Aussi, les rois doivent ils employer une telle énergie et une telle intelligence, pour remédier au mal dans l’univers et procéder à sa destruction. Ce sera accomplir une œuvre grande et louable. La coercition par la destruction est le cas le plus grave de l’emploi des châtiments ; or, si l’intelligence est extrême, il n’est pas de détail, quelque minime qu’il soit, qui ne soit scruté et éclairé ; si la décision est extrême, il n’y aura ni indulgence, ni pardon ; si ces qualités ne sont contenues par la justice, il y aura excès de sévérité dans le jugement.
Extirpant le vice de l’univers, si on recherche jusqu’au bout tout ce qui, à un degré quelconque, peut être imprégné de fausseté ou d’erreur, comment réussir à punir tout ce qui est coupable ? Le mal résultant de cet excès de sévérité sera lui-même considérable. Aussi il convient seulement de choisir et de prendre les principaux chefs ; ce qui est pris n’étant pas le vulgaire, il n’y aura pas culpabilité par excès de sévérité cruelle. Le Shou king dit : « Exécuter les chefs des brigands ; ne pas punir leurs complices. »
TSHOU HI. — L’énergie et l’intelligence atteignent au loin, l’autorité magistrale ébranle et punit sans erreur ; c’est une voie qui ne comporte aucune culpabilité, aussi tels sont l’image symbolique et le sens divinatoire.
- 559:
- 559.Le roi se prépare à la guerre, pour redresser les États.
TSHENG TSE. — Le roi déploie les facultés indiquées par ce trait supérieur nonaire ; il élucide avec intelligence et prononce avec décision, afin de rechercher et d’extirper le mal dans l’univers. C’est par là qu’il redresse et corrige les États. L’énergie et l’intelligence constituent la voie rationnelle de celui qui occupe un rang supérieur.
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