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22. - Pi, orner et régulariser

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12042020

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22. Pi : LA GRACE

Ken en haut
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Li en bas



404. Pi, orner ; liberté ; petit avantage dans ce qu’il y a à entreprendre.

Pi. « L’Ordre des koua » dit :
:
410. Premier trait nonaire : régulariser la position des pieds ; quitter la voiture et marcher à pied.

412. Deuxième trait hexaire : arranger la barbe.

414. Troisième trait nonaire : comme régularisé, comme imprégné ; présage heureux de la perfection continue.

416. Quatrième trait hexaire : comme déterminé, comme blanc écru ; cheval blanc comme volant ; ce ne sont pas des brigands, c’est un mariage.

418. Cinquième trait hexaire : ordre déterminé dans le jardin enclos sur la colline ; tissus de soie en rouleaux et coupés en petites pièces ; appréhension ; finalement présage heureux.

420. Trait supérieur nonaire : simplicité de l’arrangement ; pas de culpabilité.




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22. Pi : LA GRACE

404. Pi, orner ; liberté ; petit avantage dans ce qu’il y a à entreprendre.

TSHENG TSE. — Les êtres étant rangés peuvent ensuite jouir de liberté ; c’est pour cela qu’il est dit : « sans base rien de stable ; sans tracé déterminé, pas d’action. » Lorsqu’il y a une réalité matérielle et qu’on la soumet à un ordre déterminé, il lui devient possible de suivre librement son évolution. La voie rationnelle de la régularisation suivant un plan déterminé peut augmenter la variété de l’éclat, de sorte qu’il est possible qu’il y ait un petit avantage en avançant.

TSHOU HI. — Pi, orner, régulariser. Le koua provient du koua souen (41) dans lequel la douceur malléable vient du troisième rang et donne sa forme au second trait, tandis que la dureté énergique monte du second rang et donne sa forme au troisième. Si on le considère comme provenant du koua ki tsi, la malléabilité vient du rang supérieur et détermine l’apparence du cinquième trait, tandis que la dureté énergique monte du cinquième rang et donne son apparence au trait supérieur. De plus, au dedans le koua simple li et au dehors le koua simple ken ; il y a image symbolique de clarté de l’apparence, chaque chose, d’ailleurs, placée selon sa condition.

C’est pour cela que le koua est appelé pi. Quant au sens divinatoire, puisque la douceur malléable vient déterminer l’apparence de la dureté énergique, que la positivité jouit de l’assistance de la négativité, et que la clarté exprimée par le koua simple li est au dedans, il est donc considéré comme exprimant la liberté. Puisque la dureté énergique monte donner sa forme à la douceur malléable, et que le koua simple ken est arrêté au dehors, il en résulte un léger avantage dans ce qu’il y a à entreprendre.

405. Le commentaire traditionnel de la formule déterminative dit : Pi, régularisation dans l’arrangement ; liberté.
:

406. La douceur malléable vient et détermine l’apparence visible de la dureté énergique ; donc liberté ; une partie de la dureté énergique monte et détermine l’apparence visible de la douceur malléable ; c’est pourquoi il y a un petit avantage dans ce qu’il y a à entreprendre ; aspect du ciel.
:

407. Clarté de l’apparence arrêtant ; apparence de l’homme.
:

408. Regarder l’apparence du ciel afin d’examiner les modifications des moments ; regarder l’apparence de l’homme afin de transformer et de compléter l’univers.
:

409. Le commentaire traditionnel de la formule symbolique dit : En bas de la montagne il y a du feu : détermination de la forme ; l’homme doué porte la clarté dans les diverses prescriptions des institutions sociales ; il n’ose pas décider dans les jugements criminels.
:

hexagramme / Générateur / Nucléaire / Binôme / Permuté / Miroir opposé / (muté naturel yao 4)
lien avec lignes mutés :
1.2 / 1.3 / 1.4 / 1.5 / 1.6 / 2.3 / 2.4 / 2.5 / 2.6 / 3.4 / 3.5 / 3.6 / 4.5 / 4.6 / 5.6 /
1.2.3 / 1.2.4 / 1.2.5 / 1.2.6 / 1.3.4 / 1.3.5 / 1.3.6 / 1.4.5 / 1.4.6 / 1.5.6 /
2.3.4 / 2.3.5 / 2.3.6 / 2.4.5 / 2.4.6 / 2.5.6 / 3.4.5 / 3.4.6 / 3.5.6 / 4.5.6 /
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Message Dim 12 Avr - 19:46  blog

22. Pi : LA GRACE
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410.Premier trait nonaire : régulariser la position des pieds ; quitter la voiture et marcher à pied.

TSHENG TSE. — Le premier trait nonaire emploie la dureté énergique de l’activité et fait partie de la substance du koua simple qui exprime la clarté. De plus il est placé au rang inférieur ; c’est l’homme doué, possédant les vertus d’énergie et d’intelligence, et qui se trouve dans un rang inférieur. L’homme doué se trouvant placé sur un terrain qui ne comporte aucune situation définie ne peut avoir aucune influence sur l’univers ; il ne peut donc que régulariser et coordonner ses propres actions. Le terme tshi, cinquième caractère du texte, est choisi parce qu’il rappelle ce qui est bas et ce qui sert à marcher. La voie de l’homme doué qui se réforme et se régularise consiste à rectifier ses actions ou démarches, à maintenir l’observation des préceptes et à se placer suivant le devoir. Les démarches n’ont pas lieu au hasard ; il peut se faire que le devoir l’oblige à modifier sa vie actuelle, et alors il quitte sa voiture ou son char et se contente d’aller à pied. La foule considérerait cela comme une humiliation, mais l’homme doué prend cette circonstance comme un moyen de perfectionnement.

Le sens de l’expression : « Quitter la voiture et aller à pied » se déduit à la fois du voisinage et de la correspondance sympathique. Le premier trait est en contact avec le second et sympathise avec le quatrième ; la sympathie pour le quatrième est le résultat de la droiture ; l’alliance avec le second y est contraire. L’énergie intelligente du trait nonaire observant la droiture ne s’allie pas, près de lui, avec le second, mais elle sympathise au loin avec le cinquième : elle laisse échapper ce qui est aisé et suit ce qui est difficile, comme lorsqu’il s’agit de quitter un char pour aller à pied. L’observation des préceptes et des devoirs, c’est là la régularisation à laquelle s’astreint l’homme doué. C’est pour cela que ce que l’homme doué considère comme régulier serait une humiliation au point de vue des préjugés des gens de son époque, tandis que ce que ceux ci considèrent comme régulier est méprisé par lui. La formule emploie les exemples du char et de la marche à pied, et tire le sens des idées de « pieds et de marche ».

TSHOU HI. — Qualités de la dureté énergique ; substance de la clarté ; il se place lui-même dans un rang inférieur pour se régulariser en suivant un mode de réforme déterminé, ce qui constitue l’image symbolique de l’idée d’abandonner le char qui ne suit plus la voie morale, en se contentant de marcher à pied. Celui qui consulte le sort doit agir de même en choisissant sa position.

411:

412.Deuxième trait hexaire : arranger la barbe.

TSHENG TSE. — Bien que ce qui constitue le koua pi, soit le résultat de la modification de deux traits, cependant le sens de clarté d’apparence est le plus important. Le second trait est, en réalité, celui de qui dépendent l’ordre adopté et l’arrangement, de sorte que la formule traite spécialement de la voie rationnelle de la détermination de l’ordre. En arrangeant, ou ornant quelque chose, on ne doit pas en altérer gravement les caractères spéciaux ; c’est selon ces caractères spéciaux que doit être réglé l’arrangement, ou l’ornementation. C’est pour cela qu’elle choisit le sens de « barbe » ; la barbe se meut suivant le mouvement des lèvres. Qu’elle remue ou soit immobile, cela dépend uniquement des organes auxquels elle est fixée, de même que le bien ou le mal ne résultent pas de l’ordre ou de l’arrangement des faits et des actions. La clarté d’apparence exprimée par le second trait indique uniquement l’arrangement et l’ordre adoptés ; le bien ou le mal résulteront des caractères particuliers du fait ou de l’action.

TSHOU HI. — Le second trait emploie la douceur négative et occupe son rang avec justice et droiture ; le troisième emploie la dureté énergique positive et se conforme à la droiture ; tous deux sont sans correspondance sympathique et sans alliance. C’est pour cela que le second s’attache au troisième et se met en mouvement, ce qui présente l’image symbolique d’arrangement de la barbe. Celui qui consulte le sort doit suivre et écouter l’énergie active d’un supérieur et se mouvoir en conséquence.

413:

414.Troisième trait nonaire : comme régularisé, comme imprégné ; présage heureux de la perfection continue.

TSHENG TSE. — Le troisième trait est placé au rang extrême du koua simple qui exprime la clarté de l’apparence. Il est placé entre deux négativités, le second et le quatrième traits, qu’il sépare, et tous trois déterminent réciproquement leur apparence ; il exprime donc le complet développement de la régularisation et de l’ornementation. C’est pour cela que la formule dit : « Comme régularisé » ; dans ce cas le terme jou, quatrième caractère du texte, est simplement employé comme particule auxiliaire. À l’apogée de la régularisation et de l’ornementation, l’éclat illumine et baigne de son fluide bienfaisant, c’est pourquoi le texte dit : « comme imprégné ». À l’apogée de l’éclat illuminant la forme, il doit y avoir imprégnation par les fluides bienfaisants. Le Shi king dit : « La femelle du chevreuil grasse et luisante ». « Présage heureux de la perfection continue » ; entre le troisième trait d’un côté, et les second et quatrième traits de l’autre, la sympathie n’est pas l’effet de la droiture ; ces traits se groupent ensemble et déterminent mutuellement leur apparence respective, de sorte que la formule avertit au sujet de la nécessité de la perfection et de la droiture.

Le caractère pi, nom du koua, exprime la même idée que le caractère shi, arranger, orner, prescrire un ordre déterminé. Dans le fait de mettre en ordre, d’arranger et d’orner, la difficulté réside dans l’impossibilité d’en assurer la permanence, de sorte que la perfection continue constitue un présage heureux. Le troisième et le quatrième traits se déterminent mutuellement dans leur apparence ; de plus, le troisième s’abaisse pour se grouper près du second ; deux traits indiquant la douceur déterminent l’apparence d’un trait indiquant la dureté énergique. Le trait placé au dessus et celui placé au dessous se joignent pour orner et arranger, ce qui constitue le complet développement de l’action d’orner et d’arranger.

TSHOU HI. — Une positivité occupe l’intervalle entre deux négativités ; c’est elle qui reçoit l’ornementation et qui imprègne de son influence. Cependant elle ne doit pas s’amollir dans son repos, de sorte qu’il y a l’avertissement relatif à la continuité de la perfection.

415:

22. Pi
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416.Quatrième trait hexaire : comme déterminé, comme blanc écru ; cheval blanc comme volant ; ce ne sont pas des brigands, c’est un mariage.

TSHENG TSE. — Le quatrième et le premier traits sont ceux qui se correspondent sympathiquement avec droiture ; ce sont ceux qui se déterminent mutuellement. En principe il convient qu’ils soient « comme déterminés » ; mais d’ailleurs ils sont séparés par le troisième, de sorte qu’ils ne réussissent pas à se déterminer l’un l’autre et sont comme blanc écru. Le terme du texte signifie blanc ; c’est à dire pas encore orné. « Cheval », c’est ce qui est dessous et se meut. Ne pas encore réussir à se déterminer réciproquement ; c’est à cause de cela que le texte dit « cheval blanc ». Il suit ce qui lui répond sympathiquement avec droiture avec une rapidité semblable au vol des oiseaux, et c’est pour cela que le texte dit « comme volant ». S’ils n’étaient séparés par le brigand ennemi représenté par le troisième trait, ils s’uniraient en mariage en donnant libre cours à leur affection mutuelle. Ce sur quoi on est monté, et qui entraîne par son mouvement, c’est l’image symbolique du cheval. Le premier et le quatrième traits sont ceux qui sympathisent avec droiture ; finalement ils doivent arriver à se réunir, mais au commencement ils sont séparés par un obstacle.

TSHOU HI. — « Blanc écru », blanc. « Cheval », monture de l’homme. Si l’homme est blanc, le cheval sera également blanc. Le quatrième et le premier traits sont ceux qui s’ornent, ou se déterminent mutuellement ; mais ici, ils sont séparés par le troisième et ils ne peuvent donner libre cours à leur impulsion naturelle, de sorte qu’ils sont comme blanc écru, et le mouvement de leur cœur, qui les porte à se rechercher, égale l’empressement du vol des oiseaux. Mais toutefois, le troisième trait étant nonaire, joint l’énergie à la droiture ; ce n’est pas un brigand, donc c’est quelqu’un qui vient demander en mariage, et c’est pour cela que telle est l’image symbolique. On a déjà vu cette comparaison et ce pseudo raisonnement. Il reporte à un état de civilisation dans lequel le fiancé vient à cheval enlever sa future ; ceci, d’ailleurs, dit tout en réservant aucune appréciation sur l’origine d’une telle coutume.

417:

418.Cinquième trait hexaire : ordre déterminé dans le jardin enclos sur la colline ; tissus de soie en rouleaux et coupés en petites pièces ; appréhension ; finalement présage heureux.

TSHENG TSE. — Le cinquième trait hexaire emploie les caractères distinctifs de la négativité ; il s’associe secrètement avec le sage énergique et actif représenté par le trait supérieur nonaire. La négativité s’associe à la positivité et n’est plus retenue par aucun lien de sympathie ; elle la suit, et reçoit du trait supérieur son apparence déterminée. Depuis l’antiquité on a considéré les passages dangereux comme constituant la sauvegarde des États, et c’est pour cela que, en général, les forteresses et les remparts sont appuyés sur des élévations et des talus. Le terme khieou, cinquième caractère du texte, désigne quelque chose près et au dehors, et d’ailleurs élevé. Le terme yuan, sixième caractère du texte, désigne un jardin enclos où on cultive des légumes, c’est quelque chose de très rapproché des remparts et du district ; c’est encore quelque chose de proche et d’extérieur. Les deux mots khieou yuan (jardin enclos sur la colline), désignent ce qui est près et à l’extérieur : ils désignent le trait supérieur nonaire.

Bien que le cinquième trait hexaire occupe la situation du prince, cependant, les aptitudes de la douceur malléable négative sont insuffisantes pour qu’il s’observe et se garde lui-même ; lui et la dureté énergique active du trait supérieur se groupent ensemble et ses tendances le portent à écouter et à suivre. Il reçoit l’impulsion déterminante du sage contre lequel il se presse vers l’extérieur : « ordre déterminé par les jardins hors des remparts ». S’il peut recevoir du trait supérieur nonaire l’impulsion déterminante, il supporte sa loi et sa décision ; il est comme de la soierie qu’on roule et qu’on coupe en petits morceaux, de sorte que bien que sa faiblesse et sa mollesse ne lui permettent pas de faire par lui-même, il est amené à pouvoir n’éprouver que peu d’appréhension. Cependant, pouvant se plier à l’œuvre de l’homme qui le guide, finalement il atteint au bonheur.

L’expression, du texte, exprime une manière de couper, tailler, diviser et déchirer. Lorsqu’un tissu n’est pas encore employé, on le roule, c’est pourquoi la formule dit « tissus de soie en rouleaux » ; mais au moment où on le convertit en vêtements, il faut le tailler en le coupant, le diviser en pièces menues et petites. Rouler des tissus, est une expression figurée employée comme exemple relatif au caractère particulier du cinquième trait hexaire. « Couper en petites pièces » signifie qu’il subit de quelqu’un une action réformatrice qui le rend apte à un emploi usuel. La détermination reçue d’autrui est quelque chose d’analogue à ce qui a lieu dans le cas du koua mong, mais dans celui-ci il n’est pas question d’appréhension. En effet, il est naturel qu’un jeune être encore aveuglé par l’ignorance s’appuie sur quelque autre personne ; mais s’il ne s’agit plus d’un jeune garçon et qu’il reçoive d’autrui l’impulsion régulatrice, c’est un motif plausible d’appréhension. Cependant, jouissant de l’œuvre de cette personne, finalement le présage est heureux.

TSHOU HI. — La douceur et la justice du cinquième trait hexaire, constituent la force directrice de l’ordre établi ; il affermit la base et estime la réalité ; il se conforme à la voie de la détermination de l’ordre. C’est pour cela qu’il présente l’image symbolique du jardin enclos sur une colline. Cependant, la nature de la douceur malléable est portée à la parcimonie, ce qui fait que ce trait a aussi l’image symbolique de l’action de rouler des tissus de soie taillés en pièces. Rouler des tissus de soie, se rapporte à quelque chose de considérable et d’important, tandis que l’expression couper en petits morceaux, désigne quelque chose de superflu et sans valeur. Lorsque quelqu’un est dans ces conditions, bien qu’il puisse éprouver de la honte et de l’appréhension, cependant, s’il vient à s’agir de questions de dépenses rituelles, comment pourrait il agir avec parcimonie ? Aussi, à la fin, le présage est heureux.

419:

420.Trait supérieur nonaire : simplicité de l’arrangement ; pas de culpabilité.

TSHENG TSE. — Le trait supérieur nonaire marque la limite extrême de l’arrangement ou ornementation ; or, quand l’ornementation arrive à son extrême limite, elle tombe dans le défaut de fausse élégance et de l’altération. Ce n’est qu’en se montrant capable de s’en tenir aux caractères particuliers en simplifiant l’ornementation, qu’on ne commettra pas la faute qui consiste dans l’excès. Le terme pa, blanc, troisième caractère du texte, désigne ce qui est simple, naturel, écru, sans teinture. En aimant la simplicité naturelle sans aucun fard, on ne perd pas la sincérité primitive. Ce qu’il faut entendre par aimer la simplicité naturelle non altérée, ce n’est pas l’absence complète d’arrangement ; il faut seulement que l’ornementation ne fasse pas perdre de vue la nature réelle.

TSHOU HI. — L’arrangement arrivé à son extrême limite ramène au point de départ primitif ; retour à l’absence de coloration ; le bien compense le mal. C’est pour cela que tels sont le sens divinatoire et l’image symbolique.


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