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50. - Ting, trépied

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12042020

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50. Ting : LE CHAUDRON

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879. Ting : grandeur, présage heureux, liberté.

Ting. « L’Ordre des koua » dit :
:
883. Premier trait hexaire : marmite renversée les pieds en haut ; avantage à en sortir ce qui est mauvais ; posséder une concubine à cause des enfants ; pas de culpabilité.

885. Deuxième trait nonaire : la marmite est pleine ; nos ennemis sont dangereux, ce n’est pas nous qui devons approcher ; présage heureux.

887. Troisième trait nonaire : les oreilles de la marmite changent ; son action est empêchée ; ne pas manger la graisse de la poule sauvage ; au moment où la pluie survient, défaut de regrets ; finalement le présage est heureux.

889. Quatrième trait nonaire : marmite dont les pieds sont cassés ; renverser la nourriture du dignitaire revêtu du titre de kong ; la forme est mutilée ; présage de malheur.

891. Cinquième trait hexaire : marmite à oreilles jaunes ; anse de métal ; avantage de la pureté.

893. Trait supérieur nonaire : marmite à anse de pierre fine ; grand présage heureux ; rien sans avantage.




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50. Ting : LE CHAUDRON

879. Ting : grandeur, présage heureux, liberté.

TSHENG TSE. — Il s’agit des aptitudes du koua ; avec les aptitudes indiquées par le koua, il devient possible d’arriver à une grande liberté. Il convient de mentionner seulement la grandeur de la liberté, et le présage heureux est une surcharge du texte. Les aptitudes indiquées par le koua sont capables de conduire à une grande liberté, mais il n’y a encore aucune raison pour mentionner la grandeur du présage heureux. Le commentaire de la formule déterminative, de son côté, mentionne seulement la grandeur de la liberté, ce qui prouve clairement la superfétation.

TSHOU HI. — Ting, objet servant à la cuisson des aliments ; on considère le trait inférieur négatif du koua comme représentant les pieds, les second, troisième et quatrième traits positifs comme représentant le ventre, le cinquième trait négatif comme représentant les oreilles et le trait supérieur positif comme représentant l’anse. Ce koua présente le symbole d’une marmite. De plus, puisque le bois représenté par le koua simple souen entre dans le feu symbolisé par le koua simple li, et que la cuisson des aliments en résulte, cela exprime l’usage, ou effet utile de la marmite. C’est pour cela que le koua est appelé ting : En bas, le koua simple souen, humilité ; en haut le koua simple li, qui symbolise les yeux (clarté) et d’ailleurs le cinquième trait représente les oreilles : cela donne donc l’image symbolique de l’humilité intérieure et de l’intelligence extérieure. Ce koua provient du koua souen, dans lequel la négativité avance et vient occuper le cinquième rang en correspondant sympathiquement à la positivité du second trait nonaire placé au dessous ; c’est pour cela, que la formule divinatoire dit : grande liberté. Le terme « présage heureux » est de trop.

880. Le commentaire traditionnel de la formule déterminative dit : Ting, marmite ; c’est un symbole. Au moyen du bois soumis à l’action du feu on opère la cuisson des aliments. L’homme saint les fait cuire pour les présenter en offrande au souverain suprême, et il jouit dune grande liberté pour nourrir les saints et les sages.
:

881. Avec l’attention soumise, les yeux et les oreilles voient et entendent clairement ; on avance doucement et on monte en progressant ; on possède la justice et on sympathise à l’énergie ; c’est par là qu’il y a grande liberté.
:

882. Le commentaire traditionnel de la formule symbolique dit : Au dessus du bois il y a du feu : marmite. L’homme doué par la rectitude de la situation détermine la destinée.
:

hexagramme / Générateur / Nucléaire / Binôme / Permuté / Miroir opposé / (muté naturel yao 2)
lien avec lignes mutés :
1.2 / 1.3 / 1.4 / 1.5 / 1.6 / 2.3 / 2.4 / 2.5 / 2.6 / 3.4 / 3.5 / 3.6 / 4.5 / 4.6 / 5.6 /
1.2.3 / 1.2.4 / 1.2.5 / 1.2.6 / 1.3.4 / 1.3.5 / 1.3.6 / 1.4.5 / 1.4.6 / 1.5.6 /
2.3.4 / 2.3.5 / 2.3.6 / 2.4.5 / 2.4.6 / 2.5.6 / 3.4.5 / 3.4.6 / 3.5.6 / 4.5.6 /
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Message Dim 12 Avr - 20:31  blog

50. Ting : LE CHAUDRON
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883.Premier trait hexaire : marmite renversée les pieds en haut ; avantage à en sortir ce qui est mauvais ; posséder une concubine à cause des enfants ; pas de culpabilité.

TSHENG TSE. — Trait hexaire placé en bas du koua, image symbolique des pieds ; il monte sympathiquement vers le quatrième ; les pieds sont tournés en haut, donc, image symbolique de renversement. La marmite étant renversée, les pieds sont retournés en l’air, et les pieds étant retournés en l’air, le contenu se trouve renversé, ce qui n’est pas conforme à la voie rationnelle. Toutefois, il y a des moments où ce renversement est convenable, par exemple lorsqu’on l’incline pour en sortir la saleté et l’impureté afin de la nettoyer et de la mettre à neuf. C’est pour cela que le renversement de la marmite est avantageux pour en sortir ce qui est mauvais. Le huitième caractère du texte signifie « mauvais ». Le quatrième rang est la situation du haut fonctionnaire placé près du prince, le premier trait représente un homme placé dans l’infériorité, et il y a correspondance sympathique entre eux ; c’est le supérieur implorant l’inférieur et l’inférieur suivant le supérieur. Le supérieur peut utiliser le bien qui existe dans l’inférieur, l’inférieur peut aider à l’action du supérieur, ce qui rend possible l’achèvement de l’œuvre et de toutes choses et constitue la voie rationnelle du bien. De même que dans le cas du renversement de la marmite, il y a des cas où le renversement est opportun, sans qu’il constitue un acte contraire à la raison d’être des choses. Posséder une concubine à cause des enfants, pas de culpabilité ; le trait hexaire est négatif et humble, c’est pour cela qu’il est considéré comme représentant une concubine.

Posséder une concubine, c’est à dire posséder la personne ; si on possède une concubine vertueuse, celle ci peut aider et assister son maître, de façon que celui-ci ne commette aucune faute et soit sans culpabilité. Le treizième caractère, tse « enfant », désigne le maître ; les mots « à cause de l’enfant » signifient « afin que le maître soit sans faute ni culpabilité ». Hexaire et négatif, placé au rang inférieur, humble et soumis en suivant la positivité, ce trait est l’image symbolique d’une concubine. Puisque ce trait, hexaire, monte et sympathise avec le quatrième, il est considéré comme exprimant le renversement de la marmite et c’est ce sens qui est développé ; le premier trait hexaire est, essentiellement, sans aptitude ni vertus particulières qui puissent être signalées, aussi la formule parle de possession de concubine, ce qui signifie que, suivant la personne, il en sera ainsi.

TSHOU HI. — Ce trait est placé au bas du koua ting, il présente l’image symbolique des pieds de la marmite ; en haut il sympathise avec le quatrième trait nonaire, donc il y a renversement. Cependant, au début du koua, la marmite n’est pas encore pleine, et elle contient les impuretés accumulées depuis longtemps, c’est en la renversant qu’on les en extrait, ce qui constitue un avantage. C’est par la possession des concubines qu’on arrive à la possession des enfants, ce qui présente un sens analogue. L’image symbolique de ce trait est ainsi, et le sens divinatoire est l’absence de culpabilité ; c’est qu’en effet, c’est par la destruction que se produit l’œuvre ; c’est de ce qui est vil que provient la noblesse.

884:

885.Deuxième trait nonaire : la marmite est pleine ; nos ennemis sont dangereux, ce n’est pas nous qui devons approcher ; présage heureux.

TSHENG TSE. — Le second trait emploie la dureté énergique, il est massif et occupe le rang du milieu ; c’est l’image symbolique que dans la marmite il y a quelque chose de réel. Ce qu’il y a de solide (matériel) dans la marmite produit son effet en sortant par le haut ; le second trait, doué de l’énergie active positive, a les aptitudes nécessaires pour aider à produire l’effet utile. Lui et le cinquième trait se correspondent sympathiquement ; il monte pour suivre le prince représenté par le cinquième trait hexaire, de sorte qu’il se conforme à la droiture et que sa voie est susceptible de liberté. Cependant, il est intimement rapproché du premier ; c’est la négativité suivant la positivité. Le second trait nonaire se tient dans la justice et il sympathise avec la justice, il n’arrive pas à manquer à la droiture.

Bien que se gardant et s’observant lui-même, l’autre (le premier) l’appelle et l’invoque, aussi la formule comporte l’avertissement qu’il faut pouvoir l’éloigner, afin qu’il ne vienne pas à nous, et qu’alors le présage est heureux. Le septième caractère, « ennemi », désigne ce qui est opposé, ce qui fait contraste ; la négativité et la positivité sont des choses qui contrastent ensemble ; cela désigne le premier trait. S’ils (le premier et le second) se suivent mutuellement, ce sera contraire à la droiture et attentatoire au devoir, et c’est ce qui est exprimé par les mots « être dangereux » (huitième et neuvième caractères du texte). Le second trait doit employer la droiture pour se préserver, afin que le premier ne puisse venir jusqu’à lui. Si l’homme peut se préserver par la droiture, ceux qui manquent de droiture ne peuvent l’approcher et c’est par là que le présage est heureux.

TSHOU HI. — Puisque la dureté énergique occupe le rang du milieu, c’est l’image symbolique de la marmite pleine. « Nos ennemis » désigne le premier trait ; négativité et positivité s’appelant mutuellement et manquant de droiture, de sorte qu’ils tomberont ensemble dans le mal et deviendront ennemis. Le second peut se préserver par son énergie et sa justice, de sorte que le premier, bien que très près, ne peut cependant pas l’atteindre. C’est parce que telle est l’image symbolique et tel est le sens divinatoire que le présage est heureux.

886:

887.Troisième trait nonaire : les oreilles de la marmite changent ; son action est empêchée ; ne pas manger la graisse de la poule sauvage ; au moment où la pluie survient, défaut de regrets ; finalement le présage est heureux.

TSHENG TSE. — Les oreilles de la marmite, le cinquième trait hexaire ; c’est de lui que dépend le koua ting. Le troisième trait emploie la positivité, il est placé dans l’humilité (souen) et y occupe le rang supérieur. Étant énergique et capable d’humilité, ses aptitudes sont suffisantes pour venir à bout de sa tâche ; cependant, il ne sympathise pas avec le cinquième trait et il n’a pas les mêmes vertus. Le cinquième trait possède la justice et est sans droiture ; le troisième possède la droiture, mais sans la justice ; ce n’est pas la même chose, et c’est celui qui ne s’entend pas encore avec le prince. Ne s’accordant pas encore avec le prince, comment sa voie rationnelle pourrait elle se produire et agir. Ko, changer, modifier et renouveler et faire quelque chose de différent.

Le troisième et le cinquième traits sont différents et ne sont pas d’accord ; l’action est empêchée et ne peut s’opérer librement. Ne s’unissant pas au prince, il ne peut posséder l’autorité ; il n’a pas de moyens d’étendre son influence. La « graisse » ; quelque chose qui est agréable au goût, c’est le symbole des émoluments d’une situation officielle. La « poule sauvage » désigne le cinquième trait ; il a les vertus de l’élégance et de l’éclat de l’apparence aussi est il appelé « poule sauvage ». Le troisième trait a des capacités et des aptitudes, mais il n’obtient de ce cinquième trait hexaire ni émoluments, ni situation ; c’est là ne pas réussir à manger la graisse de la poule sauvage. L’homme doué voile ses vertus, à la longue elles doivent briller ; s’il conserve sa voie rationnelle, à la fin il jouira nécessairement de la liberté. Le cinquième trait présente l’image symbolique de la clarté d’entendement et le troisième est quelque chose qui, finalement, monte en avançant. La négativité et la positivité produisent leur effet en s’unissant et alors il pleut ; au moment où la pluie survient, c’est-à-dire au moment où il va pleuvoir : cela exprime que le cinquième et le troisième traits sont sur le point de s’accorder et de s’unir. « Défauts de regrets ; finalement, présage heureux », veut dire qu’il n’y a pas assez de regrets et que finalement on arrivera à un présage heureux.

Le troisième trait cache ses aptitudes et ne voit encore personne venir à lui, aussi il n’a pas assez de regrets ; mais ayant les vertus de la dureté énergique positive, le supérieur étant doué de la clarté d’entendement et l’inférieur de la droiture et de l’humilité, finalement, ils doivent s’accorder ensemble, de sorte que le présage sera heureux. Bien que le troisième trait soit dépourvu de justice, il fait partie de la substance de l’humilité de sorte qu’il n’y a pas excès de dureté énergique ; s’il y avait excès de la dureté énergique, comment pourrait il finalement y avoir présage heureux ?

TSHOU HI. — Puisque, positif, il se trouve placé dans le ventre de la marmite, il représente celui qui, essentiellement, possède des qualités belles et réelles. Cependant, par son excès dans l’énergie, il manque de justice ; il saute par dessus le cinquième trait pour correspondre sympathiquement au trait supérieur ; de plus il occupe le rang le plus élevé dans le koua simple inférieur, et comme c’est un moment de modification et de renouvellement, il est considéré comme exprimant que les oreilles de la marmite viennent d’être remplacées et qu’on ne peut la soulever pour la changer de place. Bien qu’il reçoive l’influence de la clarté de la forme du koua simple supérieur, il a l’excellence de la graisse de la poule sauvage, et ne peut cependant pas servir de nourriture à l’homme. Toutefois, puisque positif il occupe un rang positif, il est considéré comme se conformant à la droiture, et, s’il peut s’observer et se maintenir, la négativité et la positivité seront sur le point de s’accorder harmoniquement et les regrets sur le point de disparaître. Si celui qui consulte le sort est dans de telles conditions, bien que d’abord il soit sans avantage, finalement il jouira d’un présage heureux.

888:

50. Ting
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889.Quatrième trait nonaire : marmite dont les pieds sont cassés ; renverser la nourriture du dignitaire revêtu du titre de kong ; la forme est mutilée ; présage de malheur.

TSHENG TSE. — Le quatrième rang représente la situation des sujets d’un rang très élevé ; il s’agit donc de celui qui a la charge des affaires de l’État. Comment un homme pourrait il, à lui seul, supporter le fardeau des affaires de l’État ? Il doit nécessairement appeler à lui les gens sages et intelligents dans tout l’univers, pour qu’ils unissent leurs efforts aux siens, et, s’il rencontre de tels hommes, le gouvernement de l’univers peut être parfait, sans nécessiter aucun effort. Au contraire, s’il emploie quelqu’un qui ne répond pas à cette situation, celui-là amènera la décadence des affaires de l’État, jusqu’à causer le malheur de l’empire. Le quatrième trait s’abaisse pour correspondre sympathiquement au premier ; le premier est un homme inférieur, mou et négatif, qui représente celui qu’on ne doit pas employer. Cependant le quatrième l’emploie, mais comme il n’est pas capable de supporter le poids de sa mission, il compromet les affaires dont il est chargé : il est comme une marmite dont on casse un pied. Une marmite dont un pied est cassé verse sur le côté et renverse la nourriture du noble ou du supérieur. La nourriture, les aliments, ce qui remplit la marmite.

Occupant la situation d’un sujet de rang élevé, investi de l’autorité dans l’empire, et employant quelqu’un qui ne doit pas être employé, les choses en arrivent jusqu’à ce point de renversement et de ruine ; c’est là, au plus haut point, n’être pas à la hauteur de l’autorité dont il est investi, et être exposé à la honte et au mépris. Les mots traduits par « forme mutilée », indiquent la rougeur de la honte. Le présage malheureux est évident. Les « formules annexées » disent : « petites vertus et situation prééminente ; petit savoir et grandes ambitions ; petites forces et graves responsabilités sont souvent réunies ensemble » ; cela exprime le fait de ne pas être à la hauteur de ses devoirs et de son autorité, aveuglé par l’égoïsme, avec des vertus minimes et des connaissances insuffisantes.

TSHOU HI. — Tshiao Shi dit : « Forme mutilée ; toutes les éditions remplacent ces mots par ceux ci : peines et supplices ; c’est à dire peines très graves. Actuellement, on suit cette leçon. » Le quatrième trait représente celui qui occupe un rang très élevé et dont l’autorité est considérable ; cependant, il se baisse pour répondre sympathiquement à la négativité du premier trait hexaire : il n’est donc pas capable de supporter le poids de sa propre autorité. C’est à cause de cela que telle est l’image symbolique, et que le sens divinatoire est que le présage est malheureux.

890:

891.Cinquième trait hexaire : marmite à oreilles jaunes ; anse de métal ; avantage de la pureté.

TSHENG TSE. — Le cinquième trait est dans la partie supérieure du koua ting, c’est le haut de la marmite ; image symbolique des oreilles. Ce qui sert à soulever et à transporter la marmite, ce sont ses oreilles ; c’est de l’existence de ce trait que dépend l’existence du koua ting. Le cinquième trait possède la vertu de la justice, aussi la formule parle des oreilles jaunes. L’anse c’est ce qui est attaché aux oreilles. Le second trait sympathise avec le cinquième ; c’est ce qui vient s’attacher aux oreilles, c’est à dire l’anse. Le second trait possède les vertus de la dureté énergique et de la justice. La substance de la positivité est la dureté énergique ; la couleur de la justice est le jaune, aussi est il considéré comme représentant une anse de métal.

Le cinquième trait, à l’élégance de la forme, réunit la justice, et sympathise avec la dureté énergique ; le second, énergique et juste, fait partie de la substance de l’humilité et s’élève sympathiquement vers le cinquième. Leurs aptitudes sont en tout point suffisantes, ils sympathisent mutuellement et réalisent l’extrême excellence. Ce qui est avantageux, c’est uniquement la parfaite fermeté ; le cinquième trait hexaire se tient dans la justice et sympathise avec la justice ; il n’en vient pas à manquer à la droiture et ses caractères physiques sont naturellement ceux de la malléabilité négative ; c’est pour cela que la formule avertit au sujet d’une parfaite fermeté.

TSHOU HI. — Le cinquième trait, dans l’image symbolique, représente les oreilles et il possède la vertu de la justice. C’est pour cela que la formule emploie l’expression : oreilles jaunes. Le métal est une chose dure et solide ; l’anse est ce qui traverse les trous des oreilles pour servir à soulever la marmite. Le cinquième trait, évidé au milieu, c’est-à-dire dépourvu de prétentions, sympathise avec la dureté énergique et la fermeté du second trait nonaire, de sorte que telle est l’image symbolique et, quant au sens divinatoire, il indique que l’avantage consiste seulement dans la fermeté. On a avancé que l’expression « anse de métal » se rapporte au trait supérieur nonaire. C’est à éclaircir.

892:

893.Trait supérieur nonaire : marmite à anse de pierre fine ; grand présage heureux ; rien sans avantage.

TSHENG TSE. — Dans le koua ting, comme dans le koua tsing, c’est toujours par l’extraction en montant que se produit l’effet utile. Ce trait est placé au dernier rang ; il représente l’achèvement de l’œuvre exprimée par le koua ting (marmite). Étant au dessus, il a l’image symbolique de l’anse. La pierre précieuse symbolise ce qui est dur et transparent. Bien que ce trait nonaire soit doué de l’énergie active positive, cependant, il occupe un rang négatif, il marche sur la malléabilité négative, c’est celui qui sans pousser la dureté énergique à sa limite extrême est capable de calme et de dignité. Étant placé dans la voie rationnelle de l’achèvement de l’œuvre, il est simplement placé dans le bien, mais il n’indique rien de plus.

La dureté énergique et la douceur malléable sont dans un juste équilibre ; qu’il se meuve ou qu’il reste en repos, il ne commet aucun excès, il est donc considéré comme indiquant un grand présage heureux, et que rien n’est sans être avantageux. Étant placé au dessus, il représente l’anse et, bien qu’il occupe un terrain qui n’indique aucune situation spéciale, en réalité, il est précisément en train de produire un effet utile. Ceci est tout à fait différent de ce qui a lieu dans les autres koua, et il en est encore de même dans le cas du koua tsing.

TSHOU HI. — Comme image symbolique, le trait supérieur représente l’anse et, avec sa positivité il occupe un rang négatif : il exprime l’énergie capable de calme et de dignité, de sorte qu’il a l’image symbolique d’une anse en pierre fine et que le sens divinatoire est un grand présage heureux, avantageux en toutes choses. En effet, avec de telles vertus le sens divinatoire doit être applicable.

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