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24. - Fou, retour en sens opposé

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12042020

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24. Fou : LE RETOUR LE TOURNANT

Khouen en haut
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Tshen en bas



438. Liberté du retour ; sortir et entrer sans inconvénient ; amis arrivant sans culpabilité ; parcourir la voie en divers sens ; au bout de sept jours venir de retour ; avantage dans ce qu’il y a à entreprendre.

Fou. « L’Ordre des koua » dit :
:
445. Premier trait nonaire : retour pas éloigné ; sans arriver aux regrets ; bonheur absolu.

447. Deuxième trait hexaire : retour du bien ; présage heureux.

449. Troisième trait hexaire : retours consécutifs ; préoccupation sans culpabilité.

451. Quatrième trait hexaire : agir au milieu et revenir seul.

453. Cinquième trait hexaire : grandeur dans le retour ; pas de regrets.

455. Trait supérieur hexaire : aveuglement dans le retour, présage de malheur ; il y a des calamités et des maux ; emploi de l’action des armées ; à la fin il y a une grande déroute à cause du présage malheureux pour l’État et pour le prince ; jusque pendant dix ans ne pas réussir dans la guerre.




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24. LE RETOUR LE TOURNANT

438. Liberté du retour ; sortir et entrer sans inconvénient ; amis arrivant sans culpabilité ; parcourir la voie en divers sens ; au bout de sept jours venir de retour ; avantage dans ce qu’il y a à entreprendre.
Tsheng tse:

TSHOU HI. — Fou, renaissance de la positivité par en bas. Lorsque sa disparition, par suite de son déclin, est totale, elle produit la pureté de substance du koua khouen, et au dixième mois l’éther de la positivité est déjà né par en bas. Cet état dure un mois entier et, ensuite, la substance d’une nouvelle positivité se forme et vient à son tour de nouveau, ce qui fait onze mois. Le koua est appelé fou, retour, parce que la positivité est déjà partie et de nouveau reparaît en sens inverse. C’est pour cela qu’il exprime une voie de liberté. De plus, il est formé par le koua simple tshen au dedans et le koua simple khouen au dehors ; il y a agitation de la positivité en bas, et image symbolique d’emploi de la positivité pour agir en montant. C’est pour cela que le sens divinatoire exprime encore sa sortie et son entrée ; du moment qu’il n’éprouve pas d’inconvénients, l’arrivée des amis qui sont de son propre genre peut aussi avoir lieu sans aucune erreur ou culpabilité.

Ou bien encore, depuis le koua keou du cinquième mois, dans lequel une seule négativité commence à naître, jusqu’à celui-ci, il y a un mouvement de sept traits, et ensuite une seule positivité vient de nouveau. C’est là la spontanéité naturelle du mouvement de translation du ciel, et c’est pour cela que le sens divinatoire est « parcourir la voie en divers sens ». Ce mouvement dure jusqu’à sept jours après lesquels la positivité doit être de retour. Ou bien encore : puisque la vertu de dureté énergique commence à grandir, il en résulte que le sens divinatoire exprime encore qu’il y a avantage dans ce qu’il y a à entreprendre. « Parcourir la voie en divers sens », c’est à dire s’en aller et ensuite revenir de nouveau, revenir pour recommencer à partir. « Sept jours », c’est le délai dans lequel adviendra le fait au sujet duquel on consulte le sort.

439. Le commentaire traditionnel de la formule déterminative dit : Liberté du retour ; la dureté énergique revient.
:

440. Elle se meut et agit par la soumission ; donc elle sort et entre sans inconvénients, et les amis arrivent sans culpabilité.
:

441. Elle parcourt la voie en divers sens ; au bout de sept jours venir de retour : mouvement du ciel.
:

442. Avantage dans ce qu’il y a à entreprendre ; la dureté énergique grandit.
:

443. Le koua fou ne rend il pas visible le cœur du ciel et de la terre ?
:

444. Le commentaire traditionnel de la formule symbolique dit : La foudre est dans la terre : retour. Les premiers rois profitaient du jour du solstice pour fermer les portes. Les marchands et les voyageurs ne circulaient pas ; le prince n’inspectait pas les régions.
:

hexagramme / Générateur / Nucléaire / Binôme / Permuté / Miroir opposé / (muté naturel yao 6)
lien avec lignes mutés :
1.2 / 1.3 / 1.4 / 1.5 / 1.6 / 2.3 / 2.4 / 2.5 / 2.6 / 3.4 / 3.5 / 3.6 / 4.5 / 4.6 / 5.6 /
1.2.3 / 1.2.4 / 1.2.5 / 1.2.6 / 1.3.4 / 1.3.5 / 1.3.6 / 1.4.5 / 1.4.6 / 1.5.6 /
2.3.4 / 2.3.5 / 2.3.6 / 2.4.5 / 2.4.6 / 2.5.6 / 3.4.5 / 3.4.6 / 3.5.6 / 4.5.6 /
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Message Dim 12 Avr - 19:49  blog

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445.Premier trait nonaire : retour pas éloigné ; sans arriver aux regrets ; bonheur absolu.

TSHENG TSE. — Le retour en question, c’est le retour de la positivité revenant en sens opposé. La positivité c’est la voie de l’homme doué, de sorte que le « retour » est considéré comme exprimant le sens de revenir au bien. Dans le premier trait, la dureté énergique positive revient ; elle est placée au premier rang dans le koua ; ce trait représente donc celui qui revient le premier, donc c’est ne pas être éloigné et revenir. La positivité était perdue, et ensuite elle réapparaît ; si elle n’avait pas été perdue, comment pourrait il y avoir retour ? mais seulement, la perte n’était pas ancienne quand elle revient déjà, de sorte qu’il n’en résulte pas de regrets : c’est un grand bien et le présage est heureux. Le septième caractère du texte, tshi, « respect », doit être lu avec le son du caractère ti, « racine d’arbre », et prendre le sens du mot ti, « jusqu’à... arriver à ». Le dictionnaire Yu pien lui donne le sens de « équivaloir à... » et le sens est encore le même. « Sans arriver aux regrets » ; ne pas arriver jusqu’à avoir des regrets.

Au sujet du koua khan il est dit : « Jusqu’au moment (tsha) où la tranquillité est déjà établie ; pas de culpabilité » ; c’est-à-dire « parvenue au moment où la paix est déjà établie ». Au sujet de l’erreur de Yien Tse, alors qu’elle n’a pas encore pris une apparence et une forme manifestes, Khong Tse dit qu’elle est « sur le point d’être » ; c’est précisément là un cas de l’application de l’expression « sans arriver aux regrets ». Tant que l’erreur n’a pas encore pris une forme visible, si on vient à se corriger, quels regrets pourrait on en avoir ? Du moment où on ne s’est pas laissé aller à commettre la faute sans résister au désir de la commettre, ce désir n’a pas dépassé les proportions d’une tendance ou d’un projet ; c’est bien là une faute. Cependant, avec de l’intelligence et de l’énergie, on n’est jamais sans reconnaître ce qui n’est pas bien ; du moment où on le reconnaît, on n’est jamais sans empressement pour s’en corriger, de sorte qu’on n’en arrive pas aux remords et aux regrets, et c’est là le retour peu éloigné dont parle la formule.

TSHOU HI. — Une positivité recommence à naître par en bas ; c’est d’elle que dépend le retour. Le caractère tshi a la valeur du caractère ti, « il convient ; il est nécessaire ; équivalent à... ». De plus, puisque le trait représente quelque chose placé au commencement de l’action exprimée par le koua, c’est que la faute n’est pas encore éloignée dans le passé, que le retour au bien est encore possible, sans en arriver jusqu’aux remords ; c’est une voie largement ouverte vers le bien et un présage heureux, et c’est pourquoi tels sont le sens divinatoire et l’image symbolique.

446:

447.Deuxième trait hexaire : retour du bien ; présage heureux.

TSHENG TSE. — Bien que le second rang soit occupé par un trait négatif comme sa position comporte la justice et la droiture et qu’il est tout à fait rapproché du premier, les tendances du second trait le portent à suivre la positivité et il est capable de s’abaisser devant la vertu ; c’est la beauté et le bien dans le retour. Le retour, c’est le retour aux règles rituelles, et le retour aux règles rituelles constitue la vertu. Le trait représente le retour de la positivité ; c’est le retour à la vertu ; le second s’associe à lui et s’abaisse devant lui, ce qui constitue la beauté du retour et le présage heureux.

TSHOU HI. — Douceur malléable, soumission, justice et droiture ; proximité du premier trait nonaire, et capacité de s’abaisser devant lui : beauté et bien dans l’action du retour ; voie rationnelle de bonheur.

448:

449.Troisième trait hexaire : retours consécutifs ; préoccupation sans culpabilité.

TSHENG TSE. — Le troisième trait emploie la négativité et s’empresse de se placer au comble du mouvement ; c’est la multiplicité des retours sans pouvoir en assurer la fermeté. Le retour est précieux par la fermeté et le calme ; s’il y a fréquence dans les retours, il y a fréquence dans les chutes, et le retour manque de calme et de sérénité. Revenir au bien et retomber fréquemment dans les mêmes errements est une voie périlleuse. L’homme saint ouvre une voie d’amélioration et d’amendement ; il loue le retour et montre le péril de la fréquence des rechutes, c’est pourquoi la formule dit : préoccupation sans culpabilité. Il n’est pas possible de se servir de la fréquence des rechutes pour avertir au sujet du retour. La fréquence des rechutes constitue un péril, tandis que dans la multiplicité des retours il n’y a aucune culpabilité ; la faute est dans la chute et n’est pas dans le retour.

TSHOU HI. — Emploi de la négativité dans l’occupation d’un rang qui comporte la positivité ; absence de justice et de droiture ; de plus, le trait est placé à l’extrême limite du mouvement. Retour sans fermeté ; image symbolique de la fréquence des chutes et de la multiplicité des retours. La fréquence des chutes est certainement périlleuse tandis que le retour ne présente jamais de culpabilité, et c’est pour cela que le sens divinatoire est encore ainsi.

450:

24. Fou
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451.Quatrième trait hexaire : agir au milieu et revenir seul.

TSHENG TSE. — Le sens de la formule de ce trait doit surtout être particulièrement compris et pénétré. Le quatrième trait marche au milieu de la troupe des négativités et, seul, il est capable de retour. Cela vient de ce qu’il se place d’après la droiture, qu’il se baisse pour répondre sympathiquement à la dureté énergique de la positivité ; ses tendances peuvent être qualifiées bonnes. S’il n’est pas question de présage heureux ou malheureux, c’est qu’en effet, le quatrième trait emploie la douceur et se maintient parmi la troupe des négativités ; le premier trait est encore extrêmement faible et ces conditions sont insuffisantes pour que tous deux puissent s’entraider. Il n’y a aucune chance de remédier à cet état de choses, aussi l’homme saint mentionne uniquement la capacité de retour, sans vouloir exprimer qu’un retour isolé à la voie morale comporte nécessairement un présage de malheur.

On a dit : s’il en est ainsi, pourquoi ne pas mentionner l’absence de culpabilité ? Puisque la négativité occupe un rang négatif, elle exprime l’extrême faiblesse et la mollesse ; bien que ses tendances la portent à suivre la positivité, finalement rien ne peut remédier à ce défaut, donc il n’y a pas absence de culpabilité.

TSHOU HI. — Le quatrième trait est placé au milieu du groupe des négativités et, seul, il sympathise avec le premier ; cela constitue l’image symbolique d’agir avec la foule et d’être seul capable de suivre le bien. En présence d’un tel moment, où l’éther de la positivité est encore extrêmement ténu et pas encore suffisant pour agir, il n’est pas question de présage heureux, mais toutefois, au point de vue des conséquences logiques, il n’y a pas lieu de discuter le présage heureux ou malheureux. Tong Tse dit : « L’homme humain s’applique exactement au devoir ; il ne spécule pas sur l’utilité. Il projette la lumière sur la voie morale, et ne calcule pas le mérite qu’il peut avoir à la suivre » ; cela est visible au sujet du troisième trait hexaire du koua po et dans le cas présent.

452:

453.Cinquième trait hexaire : grandeur dans le retour ; pas de regrets.

TSHENG TSE. — Le cinquième trait hexaire emploie les vertus de la justice et de la condescendance et se place dans la situation du prince ; c’est celui qui peut guider avec grandeur dans la voie du retour au bien. C’est pour cela qu’il est sans regrets. Bien que ceci constitue essentiellement le bien, il s’y trouve cependant encore un sujet d’avertissement. Au moment où la positivité, sur son retour est encore à peine sensible, en employant la douceur pour se maintenir au rang prééminent, et n’ayant de plus aucune assistance au dessous de soi, il ne peut pas encore atteindre librement au bonheur ; il ne peut qu’éviter les regrets.

TSHOU HI. — Employant la justice et la condescendance pour occuper le rang prééminent, et en présence d’un moment de retour, il présente l’image symbolique de la grandeur dans le retour, et c’est une voie qui ne conduit pas aux regrets.

454:

455.Trait supérieur hexaire : aveuglement dans le retour, présage de malheur ; il y a des calamités et des maux ; emploi de l’action des armées ; à la fin il y a une grande déroute à cause du présage malheureux pour l’État et pour le prince ; jusque pendant dix ans ne pas réussir dans la guerre.

TSHENG TSE. — Employant la mollesse de la négativité et occupant le dernier rang dans le koua qui exprime le retour, c’est celui dont l’aveuglement est final et qui ne revient pas dans la bonne voie ; aveuglé et ne retournant point, le présage malheureux est évident. « Il y a des calamités et des maux » ; calamités, c’est à dire calamités envoyées par le ciel ; qui ne proviennent pas de son fait personnel. « Maux », résultat d’erreurs personnelles, de son propre fait. Du moment où il est aveuglé et ne revient pas au bien, toutes les fois qu’il agira, il commettra toujours quelque faute ou erreur ; les calamités et les malheurs surviennent également de causes étrangères, et en effet sa conduite les appelle. Il a perdu sa voie et ne retourne pas en arrière, aucune de ses entreprises ne peut réussir. S’il lui est nécessaire d’employer les armées, il aboutira finalement à une grande défaite ; s’il s’agit d’un État, ce sera un présage malheureux pour le prince. « Dix ans », c’est la limite des nombres ; « jusque pendant dix ans ne pas réussir dans la guerre », c’est à dire que finalement, il ne peut plus agir. Puisqu’il est aveuglé sur le choix de sa voie, à quel moment pourrait il bien agir ?

TSHOU HI. — Puisque ce trait emploie la mollesse de la négativité et se maintient au dernier rang du koua qui indique le retour, il présente l’image symbolique de l’aveuglement final sans retour ; c’est une voie qui indique un présage de malheur. C’est pour cela que tel est le sens divinatoire. Le caractère yi du texte, « employer, à cause de... » équivaut au caractère ki « atteindre quelque chose ».

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