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13. - Thong jen, identité des hommes

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12042020

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13. Thong jen : LA COMMUNAUTE AVEC LES HOMMES

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253. Hommes identiques dans le désert ; liberté ; avantage à traverser un grand cours d’eau ; avantage pour la pureté de l’homme doué.

Thong jen. « L’Ordre des koua » dit :
:
258. Premier trait nonaire : mêmes hommes à la porte ; pas de culpabilité.

260. Deuxième trait hexaire : mêmes hommes dans la souche ; appréhension.

262. Troisième trait nonaire : cacher des armes dans l’herbe épaisse ; gravir la colline élevée ; pendant trois ans ne pas commencer.

264. Quatrième trait nonaire : monter sur le mur ; ne pas pouvoir vaincre ; présage heureux.

266. Cinquième trait nonaire : les mêmes hommes d’abord crient et se lamentent et ensuite ils rient ; les grandes armées peuvent se rencontrer ensemble.

268. Trait supérieur nonaire : mêmes hommes dans la plaine ; pas de regrets.




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13. LA COMMUNAUTE DES HOMMES

253. Hommes identiques dans le désert ; liberté ; avantage à traverser un grand cours d’eau ; avantage pour la pureté de l’homme doué.

TSHENG TSE. — Le désert, c’est à dire les régions vastes et inhabitées ; ce mot est pris dans le sens de lieu extérieur et lointain. Or, ce qui réunit les hommes dans la voie de l’identité de grandeur dans l’univers, ce sera la grandeur du désintéressement du cœur des Saints et des Sages ; ce qui réunit les hommes ordinaires sera la concordance de leurs intérêts privés, et c’est bien là un sentiment qui les porte à s’associer. Aussi, il faut que ce soit dans le désert, pour exprimer que leur réunion n’est pas le résultat de sentiments de rapprochement égoïste. Mais sur le terrain des régions lointaines et désertes, dù moment où ils ne sont plus retenus par leurs intérêts privés, c’est donc la voie de l’extrême désintéressement et de l’identité de grandeur qui les dirige, et rien n’est assez loin pour ne pas être entraîné dans le mouvement de réunion. La liberté d’essor de ce penchant est évidente. Pouvoir s’identifier et s’accorder avec l’univers, c’est être tel que l’univers s’identifie et s’unit à soi-même.

Lorsque tout dans l’univers s’identifie, quels obstacles et quels empêchements pourraient être insurmontables ? Quels périls et quelles difficultés ne pourraient être librement traversés ? C’est pour cela qu’il y a avantage à traverser un grand cours d’eau, et avantage pour la pureté de l’homme doué. Le premier membre de phrase dit : « dans le désert », cela exprime seulement qu’il ne s’agit pas d’une association intime et particulière ; ici, la formule dit de plus qu’il importe que ce soit d’après la droite morale de l’homme doué. La pureté de l’homme doué désigne la voie rationnelle de la grande unité (identification) de l’extrême désintéressement, ce qui fait que bien que placé à mille fi d’éloignement, bien que né après plus de mille ans de distance, en se conformant aux principes fixes, en les analysant et en les pratiquant, dans l’immensité située entre les quatre mers, la foule des millions des peuples fait sans aucune exception partie de cette unité ou identification.

L’homme inférieur ne vise qu’à des intérêts privés ; lorsqu’il s’approche et s’associe, quelle que soit l’immoralité du but, il pratique quand même cette unité de considération pour les choses ou les personnes ; lorsqu’il éprouve de la répulsion, quelles que soient les qualités des objets de son aversion, il les considère néanmoins comme étrangers à lui-même et en dehors de cette unité. Aussi les réunions qu’il forme sont toujours des coteries népotiques, et, en effet, son cœur manque de droiture. C’est pour ces raisons que dans la voie rationnelle de l’unité de considération des hommes, l’avantage consiste dans la droiture et la pureté de l’homme doué.

TSHOU HI:

254. Le commentaire traditionnel de la formule déterminative dit : Uniformité des hommes ; la douceur malléable possède la situation, elle possède la justice et elle correspond sympathiquement à l’activité ; on l’appelle thong jen : « hommes identiques ».
:

255:

256. Liberté de l’identité des hommes dans le désert ; avantage à traverser un grand cours d’eau : L’activité agit : Clarté de la forme pour l’activité ; justice, droiture et sympathie : droiture de l’homme doué. L’homme doué seul est capable de comprendre les tendances de l’univers.
:

257. Le commentaire traditionnel de la formule symbolique dit : Le ciel avec le feu ; hommes identiques ; l’homme doué classe les êtres et les choses par le genre et la famille.
:

hexagramme / Générateur / Nucléaire / Binôme / Permuté / Miroir opposé / (muté naturel yao 4)
lien avec lignes mutés :
1.2 / 1.3 / 1.4 / 1.5 / 1.6 / 2.3 / 2.4 / 2.5 / 2.6 / 3.4 / 3.5 / 3.6 / 4.5 / 4.6 / 5.6 /
1.2.3 / 1.2.4 / 1.2.5 / 1.2.6 / 1.3.4 / 1.3.5 / 1.3.6 / 1.4.5 / 1.4.6 / 1.5.6 /
2.3.4 / 2.3.5 / 2.3.6 / 2.4.5 / 2.4.6 / 2.5.6 / 3.4.5 / 3.4.6 / 3.5.6 / 4.5.6 /
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258.Premier trait nonaire : mêmes hommes à la porte ; pas de culpabilité.

TSHENG TSE. — Un trait nonaire occupe le premier rang du koua thong jen et il n’est retenu par aucune correspondance sympathique ; c’est l’absence de partialité et d’égoïsme, le grand désintéressement de l’union des hommes. C’est pour cela que ce trait est considéré comme exprimant l’acte de sortir hors de la porte, pour s’unir aux hommes. Sortir hors de la porte veut dire au dehors ; puisque c’est au dehors, il n’y a donc aucune partialité résultant de liens privés : l’accord est large et désintéressé, de cette façon, il n’y aura ni fautes ni culpabilité.

TSHOU HI. — Début de l’accord entre les hommes ; il n’y a pas encore de direction imprimée par les sentiments égoïstes. Puisque la dureté énergique est en bas, qu’en haut elle ne rencontre aucune sympathie, il est possible qu’il n’en résulte aucune faute, et c’est pourquoi tels sont l’image symbolique et le sens divinatoire.

259:

260.Deuxième trait hexaire : mêmes hommes dans la souche ; appréhension.

TSHENG TSE. — Le second et le cinquième trait sont considérés comme se correspondant sympathiquement, et c’est pourquoi la formule dit : « S’accorder aux hommes dans la souche. » La souche désigne le groupe descendant de la même origine. S’accorder à ceux auxquels on est attaché ou lié par la sympathie, c’est être dirigé par la partialité dans ses liaisons ; dans la voie de l’accord avec les hommes, c’est considéré comme un rapprochement égoïste, de sorte qu’il doit en résulter de l’appréhension. Si le second trait était positif, cela constituerait les vertus de la justice et de l’énergie et par suite l’union mutuelle par la voie de la justice ; ce ne serait plus considéré comme une liaison basée sur l’intérêt et les sentiments privés.

TSHOU HI. — Souche, association, groupe. Bien que le second trait hexaire soit guidé par la justice et par la droiture, cependant il est sympathique à un trait supérieur ; il ne peut pratiquer la grande unification et est retenu par les intérêts privés ; c’est une voix logique d’appréhension, et c’est pourquoi tels sont l’image symbolique et le sens divinatoire.

261:

262.Troisième trait nonaire : cacher des armes dans l’herbe épaisse ; gravir la colline élevée ; pendant trois ans ne pas commencer.

TSHENG TSE. — Le troisième trait, positif, occupe un rang qui comporte la dureté énergique et il n’obéit point à la justice ; c’est un homme énergique et violent. Dans le moment exprimé par le koua thong jen (accord des hommes), les tendances sont portées à l’accord ; dans le koua il n’y a qu’une seule négativité : les tendances de toutes les positivités les portent également à s’adjoindre et à se réunir à elle. Le troisième trait avec sa force énergique se tient entre le second et le cinquième ; il veut l’enlever de force et se réunir (thong) à ce second trait. Toutefois la raison d’être des choses ne le permet pas ; le devoir ne le tolère pas, de sorte qu’il n’ose pas manifester ouvertement ses sentiments. Il cache ses armes au milieu de l’épaisseur des forêts et des herbes ; il nourrit en soi-même ses desseins coupables et illégitimes. C’est pour cela qu’il éprouve encore des craintes ; parfois il monte sur la colline élevée pour observer et surveiller de loin. Cet état de choses dure jusque pendant l’espace de trois années et, finalement, il n’ose pas commencer l’exécution de ses projets. La formule de ce trait analyse minutieusement la manière d’être et les sentiments de l’homme inférieur, mais, toutefois, elle ne dit pas que le présage soit néfaste. Puisqu’il n’ose pas passer à l’exécution, il n’arrive pas encore jusqu'au malheur.

TSHOU HI. — Dureté énergique et absence de justice ; en haut pas de sympathie ; il veut s’accorder avec le second trait et c’est contraire à la droiture ; il craint d’être vu et combattu par le cinquième trait, et c’est pourquoi il a cette image symbolique.

263:

13. Thong jen
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264.Quatrième trait nonaire : monter sur le mur ; ne pas pouvoir vaincre ; présage heureux.

TSHENG TSE. — Le quatrième trait est énergique, mais sans justice ni droiture ; ses tendances le portent à se réunir au second trait et c’est aussi celui qui est ennemi du cinquième. Mur, talus ; ce qui sert à limiter et à séparer. Le quatrième trait est extrêmement voisin du cinquième, comme s’il n’en était séparé que par un mur. Il monte sur le mur et veut combattre, mais il reconnaît que ce serait illégitime au point de vue du devoir, et il ne peut s’y résoudre. Puisque de lui-même il peut reconnaître que ce serait illégitime, et ne pas attaquer, cela constitue un présage heureux. S’il donnait libre cours à ses désirs coupables, sans pouvoir faire retour sur lui-même et penser au devoir et à la raison, agissant d’une façon coupable en attaquant et en enlevant de force, alors le présage malheureux serait très grave.

Le troisième trait emploie la dureté énergique dans une position qui comporte l’énergie, de sorte qu’il pousse jusqu’à la fin l’exercice de la force, sans pouvoir revenir dans une autre voie ; le quatrième emploie la dureté énergique, mais il occupe un rang qui comporte la douceur malléable, de sorte qu’il exprime le sens d’éprouver des revers et de pouvoir revenir en arrière. Pouvant revenir dans une autre voie, le présage qu’il indique est heureux. Respecter le devoir et pouvoir se corriger c’est nécessairement un présage heureux.

TSHOU HI. — Dureté énergique sans justice ni droiture ; il est sans sympathies ni alliances, et cependant il veut se réunir au second trait hexaire, mais il en est séparé par le troisième, de sorte qu’il représente l’image symbolique de vouloir monter sur le mur pour enlever d’assaut. Mais, occupant un rang qui comporte la douceur, il a donc aussi l’image symbolique du retour sur soi-même, sans pouvoir se décider à livrer le combat. Si celui qui consulte le sort est dans ces conditions, c’est qu’il pourra se corriger et atteindre au bonheur.

265:

266.Cinquième trait nonaire : les mêmes hommes d’abord crient et se lamentent et ensuite ils rient ; les grandes armées peuvent se rencontrer ensemble.

TSHENG TSE. — Le cinquième trait nonaire s’accorde avec le second et il en est séparé par les deux positivités du troisième et du quatrième trait. Le cinquième se domine par le devoir et la stricte raison, de sorte qu’il ne supporte pas la présomption insolente qui l’entrave, et cela à un point tel qu’il en crie et verse des larmes. Cependant, l’injustice ne l’emporte pas sur le droit ; bien qu’il soit séparé du second trait, finalement, il doit nécessairement réussir à se joindre à lui, de sorte qu’ensuite il rit. « Les grandes armées peuvent se rencontrer ensemble » ; le cinquième et le second traits se correspondent sympathiquement avec droiture, tandis que les deux positivités les séparent sans raison et les violentent ; il faut donc absolument employer de grandes armées pour pouvoir les réduire, et alors le cinquième et le second peuvent se rencontrer ensemble. Le texte parle de grandes armées ; il parle de l’emporter ; cela fait voir la force et la violence des deux positivités.

Le cinquième trait nonaire occupe la situation du prince et cependant la formule ne choisit pas le sens du prince se joignant aux hommes. En effet, le cinquième trait est exclusivement guidé par un sentiment personnel d’attachement et de sympathie pour le second, et il perd ses vertus de justice et de droiture. Le prince doit pratiquer la grande union avec tout l’univers ; un sentiment unique et personnel pour un seul individu n’est pas la voie morale du prince. De plus, d’abord séparé, il crie et se lamente ; ensuite, après la rencontre, il rit : c’est là un sentiment d’attachement égoïste ; ce ne sont pas là les caractères de la grande union. Le second trait qui est dans une position inférieure, comporte encore un signe d’appréhension à cause de « l’union avec la souche » ; à plus forte raison en est il de même lorsqu’il s’agit du prince !

Du moment où le cinquième trait ne comporte pas d’acception de la voie morale du prince, la formule n’en parle pas et éclaire seulement le sens que deux hommes animés des mêmes sentiments ne peuvent pas rester séparés. Les « formules annexées » disent : La voie morale de l’homme doué lui prescrit, tantôt de sortir, tantôt de rester, tantôt de parler, tantôt de rester silencieux. Lorsque deux hommes sont animés des mêmes sentiments, la force de leur action peut trancher le métal ; lorsque la justice et la droiture est ce qui les réunit (thong), qu’il s’agisse de sortir ou de rester, de parler ou de se taire, tout est identique (thong) en eux et l’univers ne saurait les disjoindre et les séparer. Le terme thong exprime l’unité ou identité ; ce qui est un ne peut être divisé ; divisé ce serait la dualité. L’unité (union) peut pénétrer librement le métal et la pierre dure ; elle peut traverser l’eau et le feu ; il n’est rien qu’elle ne puisse pénétrer. C’est pour cela que le texte dit que son acuité peut trancher le métal. La raison d’être des choses est ce qu’il y a de plus subtil, aussi l’homme saint s’exclame et dit « L’expression : identité de cœur, rappelle le parfum des fleurs les plus suaves. » Cela exprime que l’idée et la portée de cette expression sont profondes et vastes.

TSHOU HI. — Le cinquième trait est dur et énergique, juste et droit ; le second.trait par sa douceur malléable, sa justice et sa droiture, lui correspond sympathiquement en bas. Ce sont ceux qui ont un « même (thong) cœur ». Mais ils sont séparés par le troisième et le quatrième traits ; ils ne peuvent réaliser leur union (thong). Cependant, le devoir et la raison sont ce qui les rend identiques (ou ce qu’ils ont de commun) ; aucun être ne peut réussir à les séparer, et c’est pourquoi il y a ce sens symbolique.

267:

268.Trait supérieur nonaire : mêmes hommes dans la plaine ; pas de regrets.

TSHENG TSE. — La « plaine », un lieu extérieur (à l’état) et éloigné. Ceux qui recherchent l’union, ou accord (thong), doivent nécessairement se rapprocher mutuellement et s’allier ensemble. Le trait supérieur nonaire occupe l’extérieur et est sans correspondance sympathique ; c’est celui qui est indéfiniment sans union ni alliance. Lorsqu’il y a union au commencement, il peut arriver qu’à la fin il y ait regret, éloignement et désunion. Aussi, dans le cas actuel, bien qu’il n’y ait pas d’union, il n’y a cependant pas de regrets ; bien qu’il y ait tendance vers l’union, cette tendance ne peut se réaliser et, à la fin, il n’y a pas lieu d’en avoir des regrets.

TSHOU HI. — Il occupe une position extérieure et est sans correspondance sympathique ; aucun être ne s’unit à lui ; mais cependant il peut être sans aucun regret, et c’est pourquoi tels sont l’image symbolique et le sens divinatoire. La « plaine » est en dedans du « désert » ; ce n’est pas encore le désert lointain et vaste, mais cependant c’est une région inculte et abandonnée, où il n’y a d’union possible avec personne.

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